+ C'est bien écrit + On s'attache à tous les personnages qui sont clairement bien écrits / joués / doublés + De bonnes surprise + Une histoire poignante + Un excellent roadtrip - Je regrette (et de mes lectures je ne suis pas seul) quelques fois des choix trop limités qui donnent le sentiment d'être forcé d'emprunter une direction dramatique et pas toujours pertinente - Je n'aurais jamais imaginé écrire ça, mais un peu de tristesse pour servir un propos c'est bien, mais ici ça manque quand même de répit, j'aurais aimé vivre davantage de bons moments, revoir des personnages avec lesquels j'ai noué des liens etc.

Je suis bien heureux de n'avoir acquéri que le premier épisode car ce que je craignais arriva : LiS 2 est un jeu fait par des progressistes politisés, dogmatisés à la sauce Soros et consorts, pour des progressistes citadins qui voient le monde qu'en 2 couleurs : le bien et le mal, une vision bien pauvre du monde par ailleurs. Bref assez de ces illusions, ces inepties qui nous inondent l'esprit à chaque seconde telle une séance de torture façon MK-Ultra. Je passe la leçon faite par des français aux amerloques surtout en cette période où les français du réel portent de plus en plus fièrement un gilet fluo. LiS 2 est pour l'instant un jeu pathétique. Point barre.

Bon... J'adore Life is Strange. J'adore cette licence et, je pense que, même si mon avis est négatif aujourd'hui, je continuerai d'acheter leurs jeux. Le premier m'a fait ressentir des émotions vraiment fortes, j'ai pleuré, j'ai rigolé, j'ai VRAIMENT vécu l'aventure à 1000%. J'ai vraiment capté le message que le jeu voulait me faire passer, à savoir que "Meuf, faire joujou avec le temps c'est cool, mais ça a des conséquences désastreuses, même sur des personnes qu'au final tu ne connais pas !". L'épisode 5 était juste "WTF ?! YOU GOING CRAZY GIRL !", une grosse claque dans la gueule et un magnifique final. Mais Life is Strange 2.... - Est-ce que c'est aussi le message qu'ils veulent nous faire passer ? Non parce que sans avoir besoin de couper de l'herbe pendant 4h, vivre comme une SDF et une esclave pendant 5 et marcher, marcher et encore marcher lentement pendant 6, je m'en serais déjà doutée hein. En plus cette aventure elle ne dépend même pas mon personnage, mais de mon frère. Mon frère qui passe la moitié de son temps à me détester, m'apprécier, m'envoyer chier ou me respecter. - Les personnages que l'on rencontre n'ont AUCUNE utilité. La maman, la meilleure amie, la potentielle copine, le crush homo, les grands-parents, les autres SDF, David ptdr, Captain Spirit, les habitants de Away, toutes ces personnes servent à meubler quelques heures de gameplay sans rien nous apporter. Ou si en fait.. des idées politiques ? Boarf, j'en avais pas spécialement envie, mais bon, merci DONTNOD.... De toute évidence notre choix final sera "validé" par Daniel, et les personnages n'affluencent jamais sur son éducation. - L'éducation de Daniel est impossible. Sans déconner, je trouve que dans, ma vie en général, je suis très pacifiste et absolument pas du tout une rebelle. J'ai plutôt une "haute moralité" comme dirait DONTNOD, et à aucun moment j'me suis dit qu'on allait la jouer rebelle avec Daniel, au contraire je voulais plutôt assumer toute cette merde dès le début. Alors comment ça se fait qu'il ne m'écoute jamais ??? Tous les choix que j'ai faits n'ont AUCUN IMPACT sur son éducation si ce n'est pire. J'ai l'impression qu'il aurait fallu que je refuse qu'il tue le Puma qui était clairement une menace pour nous, ou même que je laisse la voiture buter Captain Spirit là (je sais plus son vrai nom) pour qu'il abuse pas de son pouvoir et qu'il ne devienne pas "El famoso méchant". Mais se protéger c'est pas une mauvaise chose en soi. J'ai pas la sensation d'avoir fait les mauvais choix tout le long du jeu et tout de même, à la fin il ne m'écoute plus du tout. - Même plus, tu t'en prends plein la gueule tout le long. Sérieusement, les seules émotions que j'ai eus en jouant, c'était l'ennui, l'attente de vivre des aventures intéressantes et la colère de mon petit frère qui me casse les couilles à ne jamais me respecter. Tu t'en manges plein la gueule de tous les côtés, la police, les amis, la famille, les SDF... Je suis le punching ball de ses conneries en fait ? - Pour au final... un épisode 5 qui ne sert à rien. J'appréhendais un truc de malade pour cet épisode, un revers de médaille, un plot twist de génie, un éclat de lumière de la part de Daniel mais... Sérieusement, je ne vois vraiment pas l'intérêt de l'épisode 5. Il ne se passe rien de plus que d'habitude, on attend, on fuit, on marche, on se fait chopper au dernier moment pour au final encore fuir, pour en arriver à... Vous l'aurez compris, ma fin à moi était, je pense, la pire que j'pouvais avoir, à savoir que je crève comme une sous-merde dans ma voiture parce que MON PETIT FRERE M'A ENCORE UNE FOIS PUTAIN DE PAS ECOUTE ET QUE LUI GNGN VEUT SE BARRER AU MEXIQUE !!!!!!!!!!!!!!!!!! Baaaaaaaaaaaaaaaaaa, je hais les enfants ! C'est pas nouveau et de toute évidence avec The Walking Dead et Life is Strange 2, j'ai bien compris que je ne savais PAS DU TOUT éduquer un enfant. Mais autant dans The Walking Dead les intrigues à côté de son éducation étaient intéressantes, autant là on est juste spectateur de son irrespect le plus total envers nous-même avec des aventures absolument moyennes pour nous divertir.

Assez mitigé dans l'ensemble. Il est pas mauvais mais il est pas fou non plus. Point positif, ce jeu est sans doute le meilleur moyen de contraception. Daniel est tellement insupportable, après avoir tanker une dizaine d'heures avec ce morveux vous n'aurez plus envie de vous reproduire.

Le jeu est volontairement caricatural, plutôt destiné aux gens un peu racistes et xénophobes qui ont l'envie d'être confortés dans leur opinion des américains. Comme les situations présentées dans ce jeu n'existent pas dans la réalité mais que les développeurs ont tout de même, décidé d'être "woke" sur le sujet, la review sera négative. En résumé : un jeu de blancs bourgeois de gauche, destiné à cette même population, souhaitant parler des ennemis imaginaires. (en passant, les communautés mexicaines ont voté pour Trump plutôt massivement, ils auraient au moins pu faire l'effort de se renseigner). https://www.youtube.com/watch?v=lw2BVI9OhC4

C'est quoi cette arnaque la !! j j'ai acheté le version complète du jeu et les épisodes 4 et 5 ne fonctionnent pas ! c'est marqué "non installé', alors que pourtant c'était tout bien installé !!!! Ca arrive à quelqu'un ???

 Retrouvez une centaine d'éval sur : https://steamcommunity.com/groups/LEDODO#curation 

J'ai tant à dire mais je ne sais pas si je vais y arriver, je sais que plus personne ne lit mes évaluations mais peu importe, j'ai vraiment besoin d'exprimer un ressenti par rapport a LiS 2, tant d'émotions contradictoires, ça ne me sied guère, du coup pour en faire le tri, autant poser une évaluation et on verra bien. J'ai pas envie de revenir sur la technique: soyons clair, la raideur des mouvement, la technique dans sa globalité est mauvaise, comme le premier, tout est robotique ou presque, les personnages ne bougent pas les lèvres et franchement, ça se permet de faire chauffer ma machine sans que je comprenne vraiment pourquoi. Peu de progrès a été fait sur la technique, j'aimerais que Dotnot essaye un peu plus, si vous voyez ce que je veux dire. A l'annonce de LiS 2 et à la lecture de ce que le consensus général avait à dire sur le premier épisode, j'étais circonspect, ça parlait de politique insérée au chausse-pied sans trop de délicatesse, j'avais fait l'impasse donc, en me disant que je n'y toucherai pas. De plus, de ce que j'avais lu, le surnaturel était passé à la trappe. Quelle erreur de compréhension de ma part. C'est un des journaliste de CPC qui a sorti un "oui c'est toujours des ados et oui, c'est toujours du surnaturel et c'est pas tant politisé que ça". Me suis dis que mon jugement avait été sans doute trop hâtif et que je me devais de réparer cette erreur, ayant adoré le surnaturel dans le premier. J'ai donc acheté la saison complète en promo et m'y suis lancé assez assidûment. Effectivement, le surnaturel est toujours là mais l'intelligence du dev aura été de cette fois, vous mettre dans la peau de celui qui doit veiller sur votre petit frère, qui lui, à un pouvoir qu'il va devoir apprendre à maîtriser tout le long de l'aventure, et même lorsqu'il l'aura maîtrisé, tout l'enjeu sera de lui faire comprendre quand l'utiliser, lui inculquer une morale, quelle qu'elle soit ( égoïsme vs altruisme, le bien personnel vs bien commun). C'est intelligent et bien écrit, d'autant que Daniel, lui-même (le petit frère) est extrêmement bien joué et cohérent par rapport au comportement d'un garçon de 9/10 ans, il change d'avis, boude, râle, ris, oublie, en 5 minutes de temps, en quelques mois, lunatique mais attachant, Daniel est vraiment la force de cette saison 2, beaucoup plus que le personnage principal auquel, même si c'est moi qui l'ai façonné, j'ai beaucoup plus de difficulté à m'attacher (ai-je du coup du mal à m'attacher à moi-même?). Les personnages secondaires sont tous attachants et bien écrits, hormis quelques facilités et stéréotypes qui ont du mal à disparaître lorsqu'on raconte une histoire. Le propos politique, si il est bien présent, est beaucoup moins forcé que j'aurais pû le craindre et s'intègre parfaitement au récit qui propose quatre fins différentes qui dépendent des choix fait au long des épisodes, certains sont d'ailleurs très obscurs et leur impact sur la globalité de l'intrigue reste bien mystérieux, si vous voulez refaire le jeu pour avoir une fin différente, vous allez devoir le faire avec un guide sur les genoux pour êtres bien sûr d'aller dans la bonne direction. L'intrigue globale reste cependant la même, hormis quelques nuances mineures et une fin différente. Personnellement, j'ai eu la fin la plus rare (8% des joueurs l'ont eu selon les stats que l'on nous présente sur chaque choix effectué par les joueurs, sympathique comme feature au passage, comme dans LiS 1) LiS 2 reste avant tout un jeu contemplatif, un walking simulator qui vous invite à vous immerger avant tout dans les décors qu'il propose au travers des nombreux commentaire du protagoniste sur les différents objets qui émaillent les scènes, rien de bien différent par rapport à LiS mais pour le 2, la variété est encore plus saisissante et immersive, quitte à faire des ellipses temporelles un peu trop faciles, au moins, on voit du pays et c'est magnifique, reposant et souvent poignant. Quelques moments "forçons un poil le pathos" viennent ternir un tableau, qui dans l'ensemble frôle l'excellence, j'ai souris, eu la gorge serrée, ai été touché pâr les situations vécues par le duo, proche de la tragédie grecque, c'est limite too-much, mais j'en ressors troublé, touché et je me souviendrai de cette aventure, ce qui témoigne, je pense, de la qualité d'écriture, qui semble me correspondre. Certains ont détesté LiS 1, encore plus détesterons LiS 2, encore moins consensuel que le premier, il a fait grincer beaucoup de dents, et je peux comprendre pourquoi: parfois facile, parfois cliché, parfois politisé, il n'en demeure pas moins une fable ambitieuse, moderne, touchant au coeur celui qui parviendra à mettre ses a priori de côté. Allez Dotnot, on travaille la technique et on nous trouve un troisième pouvoir surnaturel pour nous faire une petite trilogie contemplative, j'adorerais ça.

2017. Seattle. Deux frères, Sean et Daniel... Sean, c'est l'ado' ; il a ses occupations de lycéen ; il a ses fixettes amoureuses, ses parties de fête arrosées, ses réseaux sociaux, sa mise en scène de jeune adulte averti ; il s'invente une maturité, distingue ce qui "craint" du "cool" ; la famille, ça craint ; les amis, c'est cool. Daniel, c'est l'enfant. Son imagination suffit à l'occuper. 'Fin presque. Il cherche la participation de son frangin. Mais Sean ne cherche rien qu'à prendre congé de son petit frère. Et toutes les tentatives de Daniel pour susciter l'attention de Sean sont autant de façons perçues par le grand frère comme étant des attaques insupportables. Entre eux planent quelques tensions. Daniel veut jouer dérisoirement ; Sean joue déjà sérieusement le rôle de l'adolescent pour qui le monde autour est hostile. Puis frappe une tragédie... Et tout ce monde d'apparences s'effondre. Daniel ne veut plus jouer. Sean ne joue plus. Le petit frère révèle alors son pouvoir : il peut déplacer des choses sans les toucher... il a fait le crime sans le provoquer. L'étange a pris place. Non pas que Daniel soit étrange parce qu'il a un pouvoir mystérieux, c'est plutôt parce qu'il est étrange qu'il a un pouvoir à la mesure de ce qu'il représente : une incompréhension pour les autres, un immense petit point d'interrogation. Après le crime, Sean emmène Daniel sur les routes pour échapper à la police. C'est une initiation. La vie n'est plus à la mise en scène de soi-même, elle est à la survie. Sean et Daniel sont jetés en pleine nature... et rejetés par la culture ; culture de l'exclusion pratiquée par des Américains grossièrement intolérants à la présence étrangère. Trop grossièrement, d'ailleurs... Le scénariste grossit le trait du petit blanc américain sorti du fin fond de l'Oregon pour stimuler le sentiment d'étrangeté que les deux jeunes mexicains peuvent inspirer et, par effet direct, nous inspirer à nous, les joueurs, qui sommes en quelque sorte invités à s'indigner par les situations de discrimination. Ce Life is Strange est politique, excessivement politique. Mêler art et politique, c'est rarement gage de qualité, à moins de s'appeler George Orwell ou Romain Gary. M'enfin le jeu s'en tire pas trop mal. L'histoire offre au moins un point où l'on peut retrouver de l'importance : le récit est mis en forme par une qualité d'écriture scénaristique quasi irréprochable. C'est remarquable à vivre dans un jeu vidéo. Un scénario écrit par un scénariste conscient de son rôle — qui est de faire oublier au joueur qu'il en a un —, un scénario travaillé à l'élaboration d'une histoire cohérente, sans facilité, sans intervention divine, répondant à l'explication par des liaisons préparées entre chaque situation, entre les causes et les effets, répondant aux actions de personnages déterminés par des caractères définis et nécessairement marqués par l'emprise sociale dont ils dépendent... Belle écriture. Belle histoire... ... Une histoire composée d'intrigues évoluant par les choix du joueur. Une genre classique, pensez-vous. Vous êtes loin. Le genre est classique, oui, mais l'utilisation qu'en fait Life is Strange 2 est révolutionnaire. Pourquoi ? ... Parce qu'il instaure une équivalence des choses. Choisissez l'une d'entre elles... les choses sont équivalentes ; elles ne sont pas hiérarchisées. Aucun choix n'est encouragé par rapport à un autre ; aucun ne vous fait sentir bien. C'est proprement original. Car les jeux à choix supposent un schéma préconçu par le scénariste. En sorte que, étant déterminé par avance, le scénario catégorise les choix en fonction des conséquences qu'ils vont produire dans la structure narrative — "dans", et non "sur". Si le choix n'est pas optimal par rapport à l'ensemble d'la structure, par rapport au point de vue du scénariste qui la surplombe, le jeu fera sentir au joueur le poids de son choix soit par des remontrances soit par des encouragements. J'me demande alors toujours face à une situation quelle décision est la meilleure des solutions possibles pour arriver "au meilleur", pour ne pas "décevoir" le point de vue préexistant du scénariste. J'me conduis ainsi à raisonner stratégiquement sur les possibles que chaque décision pourrait impliquer, et cherche le "meilleur" des possibles selon le scénariste. Ce Life is Strange m'a fait payer cette attitude ; il ne faut pas ici raisonner stratégiquement, il faut s'abandonner par stratégie ; ne rien laisser au calcul et suivre son ressenti. Jamais le scénariste ne m'fait sentir coupable d'aucun choix, jamais il ne s'improvise juge ; toutes les possibilités qu'il propose au joueur ont à ses yeux valeur d'équivalence dans la narration. La narration, justement, est portée par deux principaux ressorts dramatiques : la récurrente mise à la marge des frères par les normes sociétales, en partie évoquée, et l'agitation de plus en plus intense qui menace la bonne entente entre les frangins : Daniel n'en fait qu'à sa tête et Sean, agacé, s'emporte facilement contre lui. Quand les deux frères sont sur les routes, ils coopèrent à leur survie ; dès lors qu'ils se sédentarisent, qu'ils retrouvent apparemment leurs anciennes conditions de vie de Seattle, leurs anciennes manies, ils cessent la coopération et débutent une confrontation. Sean essaie de revenir à ce qu'était sa vie d'adolescent normal : il cherche la compagnie des jeunes de son âge ; et Daniel, voyant cela, se sent à nouveau délaissé, abandonné, négligé. Et Sean ne comprend rien ; il est dépassé. Cette confrontation fraternelle est l'expression d'un malaise. Au vrai, l'histoire ne raconte rien d'autre que l'innocence perdue au contact d'un monde normé ; cette vieille thématique du premier Life is Strange, celle de l'individu face au collectif, de son mal-être dans les obligations sociales. Mais là où Max se renforçait à se construire avec son innocence perdue, Sean, lui, se blesse à la conquête de sa lucidité ; c'est presque le Candide de Voltaire, c'est le Candide du monde moderne. J'adore l'aspect loser du personnage ; sa fragilité de caractère qui lui donne tant de mal à gérer son petit frère ; et ses souffrances induites par ses complexes : impuissant face à la mort d'un proche, il s'effondre en larmes ; impuissant dans le sexe, il rumine ; impuissant contre ses harceleurs, il culpabilise ; etc. Portrait d'un jeune déboussolé du XXI siècle : sujet névrosé que la chaîne des événements conduit aux malheurs et à toujours plus de douleurs infligées par un monde défavorable à l'étrangeté qu'il incarne malgré lui. C'est pas un héros. Rare, dans un jeu vidéo. Le mot résume tout : "Rare". Tout y est plus ou moins rare, excepté le fond politique. L'histoire sous forme de road trip est rare ; la qualité scénaristique est rare ; la relation tourmentée entre deux jeunes frères est rare ; le caractère pathétique du protagoniste est rare ; et, encore, la lenteur du récit est rare. Les situations s'enchaînent avec beaucoup de lenteur. La note est à la contemplation ; elle orchestre le rythme ; elle donne aux choses vécues toute la gravité et la légèreté qui se rattachent à l'expérience d'une vie libérée des contraintes d'emplois du temps réglés ; elle suit forcément la cadence d'une vie déréglée. Le rythme est aussi perdu que les deux frères en cavale... ... Le coeur est touché, le coeur du jeu : c'est une longue chaîne d'images entraînées par un lyrisme visuel qui se déroule avec plein de paresse, de délicatesse sans délai de re,tard ; le récit attend ; il attend les choses, il attend les mouvements, il attend que les oiseaux pavanent, il attend que la nuit passe, que le jour se lève ; il attend les personnages, il attend que les frères se parlent, il attend que les amis confient leur amitié mutuelle, il attend que le sentiment amoureux s'épanouisse, et il attend que Sean dessine tout ça. Life is Strange 2 est une perte de temps organisée par et aussi pour la sensibilité poétique. Une perte de temps utilement inutile.

Enfin terminé. Conclusion... Beaucoup moins bien que le premier. Coté musique et visuel c'est toujours super beau (si on n'oublie les bugs de textures), le voice acting aussi est impeccable, mais côté histoire... Quelle déception. Le message politique est omniprésent et pas subtile du tout. J'ai rien contre les jeux engagés mais là c'était tellement "in your face" et forcé que j'en pouvais plus. Le fait qu'on joue un personnage sans super pouvoir aussi enlève beaucoup aux qualités du premier jeu. Mais la plus grosse déception est le choix final (spoiler) Là où dans le premier jeu le choix final était certes triste mais bien amené et aux conséquences justifiées, là le choix final à des conséquences complètement horribles et impartiales dans un cas comme dans l'autre. (J'ai choisis de me rendre). Durant tous le jeu, le pauvre Sean s'en prend plein la gueule pour réparer les conneries bêtises de son ingrat de petit frère et voilà ce qu'il obtient lorsqu'il décide de faire la BONNE chose à faire ?!? 15 ans de prison, la perte de son oeil, et des années de traumatismes ?!? WTF... Si dans le 1er j'ai pleuré de tristesse, dans le 2 j'ai littéralement pleuré de rage. Dans le premier jeu aussi le message final était clair : Ne pas jouer avec le cours du temps ou être prêt à en payer les conséquences. Là je n'ai aucune idée de ce que cette histoire voulait me raconter vu qu'il y a des tonnes de thématiques différente à chaque épisodes. Beaucoup de personnages mais très peu sont marquant ou utile à l'intrigue et les seuls franchement sympathiques ne durent que le temps d'un épisode. Dans le 1er aussi il y avait beaucoup de personnages secondaires mais ce n'était pas gênant puisqu'on s'amusait à tester notre pouvoir sur eux. Cela dit c'était cool de revoir David , vu qu'il s'agit du seul et unique lien avec le premier jeu, ça m'a un peu plu. Conclusion Life is Strange 2 : Est-ce un mauvais jeu ? Non. Est-ce un mauvais Life is Strange : Oui.

le jeux est moins ouvert que le premier mais reste bon. le problème c'est que c'est du bourrage de crane d'idéologie politique. pauvre mexicains, migrants et punk détesté par les méchants blanc ( alors que le gars a juste dit que les chiens doivent être en laisse et que les mec ont préféré le provoquer. sans parler de la méchante police.. le drama du jeu se base sur la polémique que tout les flics sont raciste.. j'aurais même pas été surpris si yavait un moment où ils découvrent la victoire de trump et sont dégoutés de ce poays de raciste... dommage

Ce jeu n'est clairement pas du meme niveau que lis 1 et before the storm, mais j'avais envie de lui donner une evaluation positive car il y a si peu de jeu de ce type aujourd'hui jusqu'a que je joue a l'episode 3 et 4. Meme si on s'attache beaucoup moins aux personnages que dans les premiers volets, on est tout de meme entraine par l'histoire. Les graphismes sont acceptables, le mini-jeu du dessin est totalement chiant et inutile (A quel moment vous avez sorti le jeu en ce disant que c'etait une bonne idee ?), le scenario est acceptable mais il manque de profondeur et semble plat par bien des moments enfin c'est ce que je pensais avant d'avoir joué a l'épisode 3. Par ailleurs, pourquoi le temps de developpement est aussi long entre les episodes ? Vous auriez pu sortir le 1er un peu plus tard et preparer les autres un peu a l'avance, du coup la on a la choix entre jouer de suite aux episodes et perdre le fil peu a peu ou attendre que les cinq sortent et se faire peut etre spoiler par hasard sur internet ou par vous-même qui spoiler dans vos propres bandes annonces ... Je trouve que c'est tres stupide ce format de sortie pour ce type de jeu y'a quand meme 1 putain d'annee entre l'episode 1 et le 5, comment vous voulez qu'on s'immerge dans l'histoire ? Je vais pas spoil, mais bon le caractere de daniel m'a particulierement enerve dans ce jeu. Je ne me suis pas senti comme un mauvais parent, mais je me suis senti comme faisant face a un enfant bipolaire et insensible, le personnage de daniel est totalement ratee mais a tel point que sa rend parfois le jeu tres desagreable a jouer. Mais vraiment, la reaction de daniel apres avoir utilise ses pouvoirs a la fin de l'episode 3 et sa reaction par rapport a son frere dans l'episode 4 est totalement wtf, quelle personne reagirait de cette facon face a la personne qui l'a protegé, s'est sacrifié pour lui et qui est le dernier membre de sa famille. C'est con car on voit bien que la thématique principale du jeu c'est la famille et le fais de devoir gérer son frère après le drame, bas c'est completement ratée avec ce genre de "frère". Par ailleurs, il y a un gros probleme je trouve entre les thematiques que vous aborder : Le racisme, les sectes, la non acceptation des gay par leur famille, ... Je trouve que cela est fais de maniere tellement maladroite que cela en devient vite insupportable, on croirait que les thematiques ne servent pas a l'histoire mais que l'histoire sert aux thematiques, on croirait que certaines scenes du jeu on etait pensé car il fallait aborder ces thematiques et pas parce que ca servait a l'histoire, c'est un des symptomes qui font que le scenario est assez bancal dans cet opus. On voit bien que la patte du 1er n'est plus la, je ne sais pas si vous avez changé de scénariste ou pas. Mais il y a clairement un problème d'écriture dans votre jeu et un gros. Point positif: Graphismes bons Les musiques C'est un des seuls jeux de type jeu interactif, c'est pourquoi malgre que ce soit un "mauvais" opus, je ne peux pas m'empecher d'y jouer car j'aime beaucoup trop le format du jeu interactif. Certain personnage tres attachant : Sean et Lyla ( C con on la revoit jamais, quel potentiel gaché mdr), les autres bas on n'a quasiment aucune attache emotionnelle à part le frère au début jusqu'a qu'on se rende compte que c un robot sans émotion. Point negatif: Scenario souvent baclé Personnage de Daniel absolument bacle, le scenariste n'a jamais du avoir d'enfant ou etre un enfant dans sa vie, daniel est bipolaire, absolument execrable et ses reactions totalement illogique envers Sean. Vous allez dire, bas c'est les enfants ils sont ingrat envers ce qui veulent les proteger, m'enfin l'ingratitude va quand meme assez loin dans l'episode 3 et 4, c'est a peine si on dirait qu'il est mon frere. Des thematiques engages beaucoup trop presentes et pas du tout discretes, qui sont la uniquement car il faut les aborder et gene l'histoire. Scenario sans trop de volonte et d'originalite, l'episode 1 et 2 partait bien meme si ils avaient perdu de la magie du 1er, y'avais un bon elan mais le 3 et le 4 n'ont pas vraiment su garder cet elan. Vu que la moitie des episodes sont assez mauvais, l'autre moitié de qualité acceptable, c pk je considere que le life is strange 2 n'est pas vraiment un bon jeu. En outre, la derniere scène dans l'église de l'épisode 4 et la dernière scène de l'épisode 3 sont presque nanardesque, à quel moment vous vous êtes dis que c'était cohérent ? A vrai dire, à la fin de l'épisode 3 et donc au début de l'épisode 4, vu la réaction de daniel par rapport à "l'incident", je n'avais plus du tout envie de le sauver. Mais bon le caractère et la personnalité de daniel ne sont au final que des symptomes de ce scénario fade, qui ne sait pas vraiment ou il va. Entre autres, l'épisode 3 et 4 devrait être un exemple de cas de ce qu'il ne faut surtout pas faire sur un jeu narratif. Même si ce n'est pas original j'aurais plutot vu un sean qui découvre qu'il est a des pouvoirs dans l'épisode 3, daniel qui retourne a seattle pour revoir lyla ou sa mère, un daniel qui devient de plus en plus instable avec ses pouvoirs, un affrontement entre daniel et sean dans le dernier épisode ou sean devrait se battre contre un daniel qui a perdu le controle de son pouvoir (Soit parce qu'il est devenu maléfique, soit parce que ces pouvoirs sont devenu trop imposant pour lui), la on aurais une relation entre les deux frères qui se blessent, un combat épique et émotionnel qui serait l'aboutissement de l'aventure, une fin digne de ce nom . Même si cet enchainement n'est pas original, il a tout de même l'atout d'être intérèssant pour leur relation, la je vois le tableau de ce qu'ils nous ont prévu pour le 5, tout risque de se passer à la frontière, avec surement un affrontement police - daniel, bref la rien ne pourras nous surprendre dans l'épisode 5, car et j'ai oublié dans parler on a fini l'épisode 4 et on a l'impression que l'histoire n'a pas du tout avancé ! C'est un des gros points noirs du jeu aussi, fin épisode 4 et on dirait qu'on est a la fin d'un épisode 2 ou a la moitié d'un épisode 3 d'un jeu qui aurait une vraie histoire. Du coup l'histoire n'a pas réussi à être suffisamment avancé à la fin de l'épisode 4 et on sait que l'histoire ne pourra pas se développer convenablement en 1 seul épisode. Bref on peut raisonnablement dire avant sa sortie que l'épisode 5 sera aussi une déception. Au final, ca aurait pu être un bon opus si l'épisode 3 et 4 avait été différent (ou si il n'y avait pas que 5 épisodes), mais il y a tellement de choses à redire sur ces épisodes, qu'ils rendent un potentiel bon opus en mauvais opus et je ne pense pas que l'épisode 5 va pouvoir rattraper vu vers ou ca se dirige. Au lieu d'être un digne sucesseur de la série, ce nouveau "LIS" est à la limite du nanar, trop bienpensant, avec un "frère" qui a perdu son cerveau en acquérant ses pouvoirs et un très mauvais scénario (avec cependant une bonne idée au départ mais avec un scénariste qui n'a pas vraiment su quoi faire après) que vouliez vous qu'il en ressorte ? Je pourrais faire une dissertation sur tout les défauts du jeu tellement ils sont nombreux mais bon je vais m'arrêter la, ce qui me surprend le plus c'est comment le studio qui a fais lis 1 que j'admirais, a pu laisser des aussi gros défauts scénaristiques apparent et évident sans que quelqu'un du studio fasse la remarque qu'il y avait un problème ? Ce qui m'énerve le plus c'est que ce jeu va finalement avoir des évaluations positives car la plupart des évaluations concernent l'épisode 1 ou 2. En définitive, je dirais juste que j'attendais avec impatience life is strange 2, je me fichais qu'il y ait chloé ou max dans cet opus, j'attendais juste un minimun d'effort dans l'écriture. Que ce soit un life is strange quoi, qu'il me fasse pleurer, me fasse m'inquiéter pour les personnages, que je vive leur aventure et bas je suis clairement décu, vous vous etes salement planté.

story sucks u just sit there press a button every 10 min n have to sit thru the most stereotypical sht. + the developper is french

Amoureux du Premier Opus, passez votre chemin. j'ai longtemps hésité à le faire de peur d'être extremement déçu et ça n'a pas loupé. L'histoire aurait pu partir sur un bon fond, mais ce n'est que clichés sur clichés, propagande woke et progressiste . Une Honte.

Attention, spoilers

Les thèmes de cet opus sont intéressants et c'est bien là le seul point positif que je trouve à ce jeu. Tout le déroulement est extrêmement lent, les personnages sont ennuyeux. Je n'ai réussi à m'attacher à aucun d'entre eux en dehors de Sean, celui qu'on joue : le pauvre vit un véritable enfer et fait tout pour s'en sortir. Mais à côté de ça, il faut se coltiner tout le long du jeu son petit frère de 9 ans, Daniel, l'un des personnages les plus insupportables et détestables qu'il m'ait été donné de voir dans un jeu : ultra colérique, constamment en train de se rebeller, de nous mettre en danger et d'aggraver toujours plus notre situation. Peu importe qu'on fasse tout ce qu'il faut pour lui, il nous fait vivre l'enfer de A à Z durant tout le jeu. Et la cerise sur le gâteau : c'est qu'aucune fin ne sera jamais satisfaisante, car aucune ne sera jamais du côté de notre personnage. C'est frustrant au possible. Ce n'était sans doute pas un opus fait pour moi, dommage ! NB : je ne me remets toujours pas de la scène de la mort du chiot. C'est crève-cœur à 3000% T_T

« Bah écoutez... J'ai écouté l’homélie du père Dontnod et je suis encore un peu ébloui... Y'a les méchants et les gentils. Y'a les vilains qui veulent la pureté, la purification, l'horreur, quasiment le nazisme. Et puis y'a les gentils, qui sont bienveillants, qui sont altruistes. Oh c'est beau ! C'est beau ! Sauf que ça n'existe pas monsieur Dontnod. Surtout, ça fait fi de ce qu'on est, non pas de ce qu'on devient, mais de ce qu'on est. Auguste Comte disait : "Les morts gouvernent les vivants", monsieur Dontnod, et Raymond Aron ajoutait : "L'histoire est tragique", et ça vous l'oubliez. Vous parlez pour un homme hors-sol, vous parlez pour un homme qui passe sa vie dans les aéroports. Mais ça il n'existe pas à part vous, monsieur Dontnod. Y'a des gens qui sont là, qui sont là depuis 1000 ans et qui ont envie d'être là encore 1000 ans, et qui n'ont pas envie d'être métissés, monsieur Dontnod, excusez-les ! Excusez-les, ils ont pas envie. Ils ont pas envie d'être submergés. Ils ont pas envie d'être remplacés. C'est c*n hein, j'reconnais, c'est bas. C'est bas et c'est pas tellement altruiste, mais c'est leurs vies, vous comprenez. Et ils ont pas envie que monsieur Dontnod, le père Dontnod, vienne leur dire "Vous êtes des nuls, vous êtes des médiocres, vous êtes des racistes, vous êtes des xénophobes, vous n'êtes pas des bienveillants". Eh ben non ! Eh ben non, ils sont pas bienveillants, parce que les autres non plus ne sont pas bienveillants. » Points positifs : - Très propre visuellement - Une narration rythmée et immersive - La recette façon "format épisodique" parfaitement maitrisée... Points négatifs : - ...au service d'un jeu 100% gauchiasse - Les poncifs anti-américains primaires servis par des bobos parisiens - Le panel souvent restreint des choix proposés - Une bande-son un peu trop larmoyante dans son ensemble - Pas très bien optimisé Point positif supplémentaire (et non des moindres) : ce sera mon dernier jeu Dontnod

Life is strange 1 était quand même beaucoup mieux.

Si le premier "Life is Strange" m'avait beaucoup marqué, cette seconde saison ne m'a pas autant enthousiasmé, sans être un mauvais jeu pour autant. La différence principale réside dans l'idée géniale du premier où les voyages temporels étaient un élément à la fois de l'intrigue mais aussi du gameplay. Ici, vous incarnerez Sean, un adolescent en cavale avec son petit frère après la mort de leur père, tué par un flic lui même abattu par les pouvoirs psychiques de Daniel. S'en suit un très long road trip où les deux louveteaux seront confrontés à leur destinée. Utiliseront-ils les pouvoirs de Daniel pour sauver leur peau quitte à devenir des criminels, tenteront-ils de rester dans le droit chemin ? Vos choix, vos conseils et votre attitude façonneront la personnalité du petit Daniel et détermineront à la fin s'il deviendra un gentil jeune homme ou un super vilain. Si les aventures de Max et Chloé tournaient autour des sentiments d'adolescents et une histoire de kidnapping, les thèmes évoqués ici sont plus adultes : respect des règles en société, criminalité, racisme, éducation seront au coeur de l'aventure. Mais quel dommage qu'il n'existe pas une option "gifler Daniel" car plus d'une fois, les réactions de ce gamin ont mis ma patience à mal. Quant à Sean, il se voit forcé d'être un père de substitution devant assurer l'avenir et la sécurité de son petit frère, alors qu'il est lui même qu'un jeune adolescent. Une histoire plutôt tragique et aboutissant sur 4 grands fins possibles.

j'ai pleuré j'avoue

Pas à la hauteur du 1er

A L'AIIIDDDDE CE JEU EST MANGIFIQUE PUTAIN !!

propagande gauchiste

Que dire... si vous n'avez pas le jeu, ou si vous avez deja jouer aux autres life is stange, vous serez absolument decu par celui ci. C'est simple: l'histoire n'a aucun but precis, l'histoire est incoherente et SURTOUT le jeu veut nous faire faire des choix que l'on a soit meme pas voulu faire ... Exemple: le petit frere n'en fait qu'a sa tete, impossible de le raisonner et surtout si on lui dit NON il va nous mendier, ce chien; "s'il te plait", "allez" etc.. Tu dis NON et le jeu te fait faire OUI par la suite... Pourtant le premier episode s'annoncer excellent avec de l'intrigue, des personnages interessants et de la dynamique surtout. Quant au 2eme épisode... UNE CATASTROPHE! Tu es livré a toi meme, aucun suspens, trop de prévisibilités... Le petit frere devint de plus en plus INSUPORTABLE et on va tout gacher a cause de sa petite personne égoiste. Une crasseuse nous interpelle et on est obligé de se taper la discute avec cette mangeuse de canigou et son mec retardé avec des dreads degeulasse. Pour RéSUMER: sénario DéCEVANT, PRéVISIBLE, AUCUN SUSPENS, personnages de MOINS en MOINS attachants. Si vous lisez ceci: FUYEZ! Je fais des fautes parce que je suis absolument dég d'avoir acheté la totalité de cette daub (ouais 40 balles pour ca... LIS 1 et BTS mértie beacoup mieux et pourtant bien moins cher). S'il vous plait: ne tomber pas dans le panneau avec des commentaires prépubaires et passez votre chemin.

Un jeux tout simplement magnifique 💜 encore mieux que le premier je recommande les yeux fermée

C'est criminel de ma part d'avoir attendu autant d'années avant d'y jouer.

K