Tout a commencé un soir de décembre. Je me promenais le longs des quais de la ville de Bordeaux. Le ciel était gris pale, et reflétait les lueurs d'un soleil à l'agonie. Tandis que j'arpentait le pavé de la vieille ville, un singe survint devant moi et me dit: "Hola l'amis, tu es en possession de plusieurs grammes de crack, je vais devoir procéder à une arrestation". Ne comprend pas ce qu'il se passait, je mit la main à la ceinture, prêt à dégainer mon glock-17 acheté sur Leboncoin si jamais le macaque tentait de faire le coquin. Fort heureusement, il rebroussa son chemin, et je pu bientôt reprendre ma route. Mais alors, j'entendais au loin de nombreux cris appelant mon nom. "Fredo", "Fredo", "Frédéric Duval-Macron", disaient-ils. je me retourna et vit une armée de singe, tous équipés de battes de baseball, de club de golfe, de marteau, de piques, de gode ceintures et de katana. Un combat térrifiant s'engagea alors entre moi et les singes, et après un long combat, je parvins finalement, à cours de munition, à déchirer à l'aide de mes dents le coeur du dernier singe. Puis, je perda connaissance. Plus tard, je me réveilla dans une cellule de police, ou l'on me disat que je m'appelait mohamed mera et que j'avais commis un massacre dans les rues de toulouse. ny croyant pas, je faisa appel à un avocat et il me disa "non frere tu était juste sous crack tu es meme pire que mohamed mera et tu vas passer ta vie en prison nikomok". Ce pour quoi je le tua. Le jour du procès, je me vétis d'un costume blanc à paillettes, d'une cravates bleue foncée, d'une chemise blanc cassé et d'un jean noir. Pendant toute la durée du procès, le procureur m'insulta mes grands morts en disant que j'avais commis des actes irréparrables et que j'avais brisé la vie de nombreuses familles. Lorsque ce fut mon tour de prendre le mic (aucun avocat n'ayant voulu me représenter) je lacha mon meilleur freestyle, ou j'exposait tous les problèmes qui m'accablaient, et auxquels je répondait par ma catchphrase fétiche: putain zeubi. Lorsque le procès fut terminé, Emmanuel Macron arriva en jet privé à côté du tribunal pour annoncer qu'il avait rétabli la peine de mort juste pour moi. Je lui disa alors "mmmmmdr t toujours autant dans l'abus bg". Il me cassa la nuque à mains nue. Depuis ce jour, je suis paralysé en fauteuil roulant. On a oublié de m'éxécuter, car les gardiens de la prison m'ont confondu pour Stephen Hawking et m'ont laissé partir. Et, dans cette situation, le seul jeu qui permet à moi, être humain tout à fait normal et bien constitué, de survivre à ce calvaire que j'appelle le néo-libéralisme, c'est Garry's mod, qui regroupe un tas d'autres spécimens complétements con comme moi.