J'AI QUITTÉ MA FEMME POUR CHASSER DES SANGLIERS TOUTE LA JOURNÉE

Ce jeu est en train de détruire ma vie sociale. Mais grâce à lui je sais au moins chasser le sanglier

Je devrais aller dormir... Mais bon il me manque quelques peaux de troll et... Tiens un Donjon... Bon.. Deux bois nobles, j'améliore l'arc et... Bon, une cheminée sinon je me fait enfumer... La forge... Bon deux cuivres... Comment ça il est 8H00 du matin ?

Je devrais aller dormir... Mais bon il me manque quelques peaux de troll et... Tiens un Donjon... Bon.. Deux bois nobles, j'améliore l'arc et... Bon, une cheminée sinon je me fait enfumer... La forge... Bon deux cuivres... Comment ça il est 8H00 du matin ?

CE JEU EST UNE ARNAQUE ! Vous pensez avoir un petit jeu de survie en accès anticipé pour 17€ et vous vous retrouvez avec un bijou bien meilleur que tous les jeux soit disant "finis". Vous pensez qu'il est simpliste puis vous découvrez la profondeur et la justesse de certains mécanismes du jeu (spoil: fumée, architecture/solidité, météo, vent (merde un jeu ou on peut voir le vent Oo...). Vous pensiez ne jamais avoir à nouveau la joie de découvrir un Minecraft et vous tombez sur Valheim. Vous pensiez pouvoir génocider tranquillement des sanglier et un troll vous marche dessus au détour d'un nouveau biome. Vous pensiez avoir un jeu tout laid et vous passez votre temps à avoir envie de faire des screenshots. Et avec tout ça il n'est pas fini, il y en aura encore plus ? mais wtf Bref je le répète, ce jeu est une arnaque, c'est tout à fait anormal que les devs ne reçoivent pas bien plus d'argent à chaque achât de Valheim !

Courir nu dans les plaines jusqu'à sa tombe en serrant les fesses pour ne pas recroiser le moustique qui nous a éclaté la gueule la première fois. Mettre en place une préparation militaire pour un combat de boss en rationnant munitions et potions et en repartissant les rôles pour arriver dans l'autel sans les offrandes qui vont permettre l'invocation, et tomber sur un raid de gobelins impromptu pendant l'aller retour supplémentaire. Charger des tonnes de minerai de fer sur son bateau pour les ramener des marais jusqu'à sa forge, et passer la demie heure la plus tendue de sa vie dans les eaux calmes de Valheim car la moindre bebête qui croiserait notre chemin emporterait notre précieux butin au fond des océans. Mourir en tombant du toit, alors qu'on essayait juste de réaligner deux bouts de bois mal placés par quelqu'un d'autre. Se perdre dans la forêt noire, poursuivi par une horde de monstres alors qu'on essayait de tirer une charrette pleine de ressources jusqu'à son campement. Réussir à s'enfuir et passer les deux jours suivants à ratisser les lieux afin de retrouver la cargaison. Et ça n'est que le début des aventures.

J'ai coupé un arbre. Le tronc m'est tombé dessus. Je suis mort. Puis j'ai passé 150 heures à construire un chateau avec dépendances, cultures, élevage, quai & phare. Puis un moustique m'a tué. 10/10. Would recommend.

Un excellent jeu!! Vous aimez les jeux de craft, de construction? Il est pour vous. Vous aimez les RPG? Il est pour vous. Vous aimez les vikings? Il est pour vous. Vous aimez jouer avec vos amis? Il est pour vous. Vous aimez les jeux vidéos? Il est pour vous. Vous êtes en vie? Il est pour vous.

Tel un viking j'ai pu tirer une salve de flèches enflammées vers le radeau en bois voguant vers l'horizon sur lequel était non pas un corps embaumé à l'occasion d'un rite funéraire mais bien mon pote à poil qui s'était désigné pour aller explorer le nouveau monde en me hurlant dans le micro d'arrêter. Meilleur fou rire, je recommande.

Un désastre pour ma vie sociale.

Je n'ai pas d'amis, donc je joue seul. Et là c'est le drame, quand le jeu me pénalise parce que je n'ai pas d'amis. Je dois tout faire moi-même, ça prend donc du temps. Le problème c'est qu'il faut tuer des boss pour débloquer des objets de construction et avancer dans le jeu. Les 2 premiers boss, je m'en suis sorti, mais le 3e c'est l'enfer, même en connaissant la technique, je ne fais que mourir.. je ne suis pas un bon joueur, c'est sûr, mais quand je meurs 30x à la suite, c'est qu'il y a un problème.. et tout s'enchaine, je perds ma bouffes, mes potions et petit à petit mes composants pour les créer.. je n'ai plus rien, je dois repasser des heures à me refaire des stocks.. pour recommencer à mourir ? Dégouté. J'aime construire paisiblement, mais là non plus ce n'est pas possible, il y a ces events, des mobs qui spawn dans mon village.. au début c'est facile... jusqu'à ce que ce soit des trolls, qui en 1 coup détruisent des heures d'amour à construire. Dégouté. La construction coûte aussi très-trop- cher en ressources pour 1 joueur.. Je ne parle pas du fer.. que tu mines durant des heures dans un biome spécifique, et que tu dois rapporter par bateau car on ne téléporte pas ces ressources. Et fatalement, tu rencontres le serpent des mers, qui précisement cette fois-là va réussir à nicker ton bateau... avec toutes tes ressources.. pas possible de récupérer ce qui tombe dans la mer.. des heures de perdues. Dégouté. Voila, je n'ai pas d'amis, et on me donne un coup de pieds pour m'enfoncer de plus belle. C'est vraiment triste

Les abeilles sont heureuses

1 -> Craftez un Drakkar 2 -> Prenez la mer avec vos amis 3 -> Hurlez "OOOOODIIIIIN, GUIDE NOUUUUUUS" -> 11/10

Pourquoi Valheim a t-il tant de succès ? Il n'apporte rien de foncièrement original sur le marché et il ressemble à "tous les autres jeux survival". Mécanisme de faim, du building, des ressources à récolter... Deux raisons : - Parce qu'il comble parfaitement un vide dans la catégorie des mondes ouverts coopératifs. - Parce que tout ce qu'il fait, il le fait bien et rend le jeu amusant tout en gardant du challenge Pas besoin de se soucier des gangs de 14 ans qui ravagent les serveurs en masse, et d'avoir besoin de jouer souvent pour être à niveau : Le jeu est très axé sur le coopératif et tout ce qui touche au PvP doit être consensuel en premier lieu. Il doit être activé et on débloque assez tôt la possibilité de protéger sa base contre les griefers avec une construction. Pas besoin de se soucier de mourir de faim. Si tu ne manges pas, tu es certes faible avec un nombre limité de vie et d'endurance, mais ce n'est absolument pas important quand tu glandes dans ta base et que tu coupes des arbres pas loin. La nourriture donne un gros bonus de vie, d'endurance et quelques buffs sympa. C'est un système qui récompense mais qui ne châtie pas. Il est important de manger lors des grosses expéditions dans des zones dangereuses mais laisse le joueur tranquille quand lui veut être tranquille. Pas besoin de se soucier à faire les bonnes constructions du premier coup ou à préserver son équipement : Les destructions sont entièrement remboursées en matériaux et les réparations d'armes/armures sont gratuites auprès d'un atelier. Valheim ne vous enferme pas dans un cercle vicieux de consommation immodérée de ressources. Une fois que vous avez, vous gardez. Ces trois problèmes étaient les cancers majeurs de beaucoup de jeux survival. Ce qui m'a écarté de ce genre pendant un long moment. Maintenant, place au fun : C'est fun d'explorer. Aussi bien la gigantesque carte que les mécanismes de jeu. On commence comme des hommes de cavernes et on découvre petit à petit comment le jeu fonctionne. On débloque les recettes de fabrication au fur et à mesure que l'on trouve de nouveaux objets. On meurt connement parce qu'on découvre qu'on peut se faire écraser par un arbre qui tombe, ou suffoquer parce qu'on a oublié une cheminée dans la maison remplie de fumée. Mais le jeu dévoile également petit à petit son potentiel, laissant le joueur aller à son rythme, affronter de nouveaux environnements, obtenir de nouveaux outils et proposer de nouveaux moyens d'avancer et de se déplacer. C'est un jeu magnifique, mélangeant avec perfection les textures basse résolutions et les polygones de basse qualité donnant un certain effet nostalgique avec des effets de lumières extrêmement bien maîtrisés et une végétation dense et naturelle (Les forêts ressemblent à des forêts !), tout en se payant le luxe de tourner assez bien. La météo, que ce soit la pluie, le brouillard (très) dense, le beau temps, donnent une ambiance très immersive. Les animations sont bien réalisées, pleine de personnalités et très rigolotes (point bonus lorsque notre personnage est encombré ou lorsqu'il tient une chope). Les éléments de constructions proposées poussent le joueur à faire des belles maisons qui se mélangent très bien à l'univers plutôt que des cubes uniformes. Se promener dans un petit village faites avec d'autres joueurs, à l'apparence très cozy avec la lumière chaude dans la nuit froide et la fumée qui sort de la cheminée, donne l'impression d'être à la maison. Le système de combat est simple mais engageant, avec plusieurs types d'armes et de dégâts, un système de blocage, de roulade et de parade. Un système de sneak, de coups critiques, et de coups déstabilisants pour des dégâts bonus. Avec des adversaires qui peuvent être nombreux ou être très impressionnants et qui font très mal. Courir partout au milieu d'une mêlée pour distribuer des baffes est très amusant. Garder la distance avec un monstre de 5m de haut en le criblant des rares flèches qu'on a, ou essayer de lui poke les testicules à la lance en espérant se retirer à temps avant la grosse basse est fun également. C'est un jeu qui peut se jouer solo sans souci, mais qui se savoure en coopératif. Découvrir des choses ensemble, mourir idiotement à cause de notre ignorance, courir à travers la carte en évitant les dangers avant de se retrouver ensemble dans la base. Construire une charrette et se moquer de celui qui essaye de la tirer, pleine et lourde, le long d'une pente. Construire le premier navire, affronter l'océan, ses mystères et ses dangers. Beaucoup de surprises au tournant et beaucoup de noyades. Surtout parce ce qu'on croyait être une île n'en était pas une~ S'empaqueter dans des donjons étroits et faire une mêlée générale avec des squelettes au tournant d'un virage. Partir au repos dans la base. Un à la forge en train de gérer la fonte des minerais, un à la cuisine en train de préparer les bons repas pour la prochaine expédition, un qui construit un nouveau préau pour notre stock de bois... Profiter de nos trouvailles loin des aspects plus frénétiques et tendus du jeu. Cela me fait rappeler mes premières heures sur Terraria, dont le système de progression est assez similaire. Ou Minecraft, qui m'évoque la même ambiance. Un monde ouvert, étrangement magnifique malgré son aspect technique minimal, qui appelle à explorer et à se promener, loin de notre maison que l'on aura prit soin de faire. Valheim sort de nulle part et son succès fut immédiat. Et c'est normal, c'est mérité : Valheim a compris qu'il manquait une niche pourtant très réclamée dans le domaine des mondes ouverts coopératifs, et il l'occupe parfaitement. Mes braves parents et moi l'avons acheté, et nous avons eu le fun de notre vie. Eux qui sont pourtant des gamers assez mesurés, nous avons tué 25 heures en un week end à s'amuser non stop. Nous n'avons affronté que le premier boss sur les 5 nécessaires à finir le jeu, nous n'avons pas foncièrement trainé ni n'avons rushé le jeu. Nous prenons notre temps à explorer, récolter des ressources, nous consolider petit à petit en découvrant ce que le jeu peut offrir. Et nous attendons avec impatience notre prochaine partie. Valheim n'offre rien de nouveau, mais il est un excellent jeu-vidéo. Bien fignolé, généralement stable, fun à jouer, pas prise de tête et avec des mécanismes qui se complètent. Dans le genre qu'il occupe, où beaucoup de titres essayent d'être le plus hardcore possible avec un relent toxique de PvP, complètement buggué et avec des features scotchés ensemble sans logique ni synergie, c'est un vainqueur. Bien qu'il soit encore en accès anticipé, le jeu offre déjà beaucoup de contenu avec une bonne stabilité. Nous n'avons eu que 2 bugs en 25h.

Je me revois consulter timidement l'actualité du jeu et l'engouement qu'il suscitait. Je me revois penser que j’y jetterais bien un œil pour voir si le succès était mérité. Sans particulière volonté d’y éprouver une quelque ambition tonitruante, le prix si bas m’a amené à acheter le jeu pour voir… Me voilà attaché aux serres d’un corbeau en pleine tempête. Je partais tout de même avec l’identité d’un fier viking prêt à se confronter aux affres de la nature cruelle et au final, je me retrouve en slip sur les berges d’une rive me montrant l’agression des lieux par l’intermédiaire de ce que j’identifie très vite comme une sorte de carpeaux pourris et qui me pousse à courir me réfugier plus loin. Me voilà lancé dans une aventure dont j’avais plus ou moins cerné les contours. Je vais devoir farmer, construire mon havre et lutter contre des ennemis que j’imagine gourmand de ma vivacité. Et bien c’est exactement ce qui m’est arrivé. J’étais tout prêt d’une sorte de stèle d’incantation et j’ai très vite déterminé que c’était là mon premier objectif, terrasser le premier boss qui allait me déverrouiller quelques recettes pour augmenter le fruit de mes actions. Alors je me suis avant tout amusé à couvrir ce sculptural petit cul en pagne. La notion de prestige est somme toute relative quand on est seule perdu dans les bois mais ce n’était quand même pas sérieux d’œuvrer avec l’air aussi démuni. J’étais fier de ma hache en silex et des oripeaux en cuir de sanglier. L’odeur ne me rebutait peu tant j’avais allégrement cédé aux sirènes de la mode préhistorique. Je me suis lancé dans mon duel avec ce cerf tempétueux non sans une certaine admiration pour l’animal. J’aurai presque regretté son dernier souffle s’il n’était pas arrivé alors que je me sentais moi-même défaillir. Le premier boss terrassé, me voilà avec tout un tas de potentiels nouveaux, je construis et pour ce faire, je dois ramasser du bois. J’essaye de respecter l’environnement et il ne me vient pas à l’idée de couper tout ce que je trouve. Je construis une modeste cabane de pêcheur dont j’étais très fier avant que de nouveaux besoins spacieux ne se fassent entendre. Mon aventure est empirique, je construis des cabanes, puis des cahuttes, puis une maison, puis un entrepôt et jamais cela ne contente l’avancée de mon aventure puisque nous accumulons toujours plus de richesses (oui oui, des bouts d’os peuvent constituer une forme de richesse dans ce monde où l’on a rien d’autre qu’un slip au début de son épopée). J’allais dire « très vite je me rends compte », mais très vite est relatif puisque ça fait déjà quelques heures, quelques dizaines d’heure même que j’arpente les terres sauvage en quête de quelque chose. Ma vie de viking s’améliore, la richesse de mes morts aussi. Personne n’oubliera jamais le sourire décérébré d’un troll croisé en toute discrétion dans une forêt, pas plus que la cuisante mort qui s’en est forcément suivie et qui arrivera encore bon nombre de fois. Car ces rencontres fortuites restent des expériences prudentes, on est parfois mis en difficulté malgré la hausse de son potentiel et on refera souvent le chemin dans l’espoir de vite retrouver son cadavre et de clôturer un combat douloureux pour ses ambitions. Arrivé à un certain moment, mes activités sont multiples, je veux couper du bois, explorer cette carte qu’on a décrit comme si vaste, couper du bois, explorer ces donjons en quête de ressources, couper du bois, courir la nuit en fuyant des hordes nocturnes, couper du bois, ramasser des framboises pour faire de la confiture comme une douce tata viking, couper du bois et… surtout couper du bois ! Je suis accompli en tant que héros solitaire de mon aventure, je ne cesse de m’esbaudir devant la réussite architectural de cette habitation à étage dont je me flatte d’avoir fait une cheminée en son cœur, je remplis mes coffres que j’ordonne méthodiquement, je cuisine, je jardine, je fais des confitures, de l’hydromel, je fabrique et upgrade mon équipement, je farm, je farm, je farm. J’ai découvert cette carte et à chaque fois se dessine au loin un nouvel horizon me montrant que l’exploration se poursuivra au-delà d’une mer promise à être pleine de danger. J’ai passé du temps à poser des constructions à des points éloignés avec des portails pour pouvoir y retourner sans passer des demies journées (In game) à courir seul. Toutes les promesses du titres sont tenues et la première d’entre elle : s’amuser ! Je n’ai pas voulu vexer l’expérience en imaginant que le buté n’était que de tuer les 5 boss actuellement présents. J’ai joué mon aventure jusque-là avec le plaisir de répondre logiquement à mes besoins. Aussi, à la 117ème heure de jeu, au 216ème jour de jeu in game, je n’ai toujours pas tué le deuxième boss. J’essaye de bien profiter du pallier et de ce qui m’est alors proposer afin de bien profiter de ce que le prochain pallier va m’offrir. La rencontre avec mes nouveaux ennemis des plaines m’a dépeint ma vulnérabilité, tué par un moustique alors que je ne l’avais même pas remarqué était vexant. Mourir à nouveau en pensant que c’était une erreur la première fois m’a confirmé que je n’étais pas prêt pour ce nouvel espace. Heureux propriétaire de différentes constructions, je vais bientôt changer d’ère… à moi ces nouvelles perspectives et besoins, à moi ces nouvelles aventures… sus au deuxième boss. Le jeu est bon pour peu qu’on sache vivre une aventure. J’ai pour habitude de toujours mettre en corrélation l’indice temps/€ et Valheim est un excellent investissement pour peu qu’on sache et qu’on veille ce qu’on va y faire. Vivement la suite…

Salut à toi jeune indécis ! Tu te demandes si Valheim est bon jeu ? Ne t'inquiète pas ! Je vais tout t'expliquer ! Valheim est un jeu de survie avec un côté RPG. Le jeu se déroule comme tu as pu le voir dans l'univers nordique/viking. Le style visuel est un fabuleux pixel art avec des effets de bloom et de tesselation hallucinant. Ce jeu est sans aucun doute le jeu le moins en early acces que j'ai pu voir !!! Il n'y a aucun bug ! Le gameplay est prenant et regorge de pépites comme sa magnifique gestion de la gravité. La progression se fait de manière logique et aéré. En gros, Valheim c'est un jeu qui incarne ce qu'on appelle "L'EQUILIBRE". J'ajoute que tu peux avoir ton propre serveur et ceux jusqu'à 10 joueurs simultanément ! Si tu hésite FONCE IL NE COÛTE QUE 16 EUROS / 19.50 CHF. CE JEU EST UN BIJOU FAIT PAR SEULEMENT 5 PERSONNES ET 5 CONTRIBUTEURS. IL MONTRE A TOUS LES 3A COMMENT ON SORT UN JEU AVEC UN CONTENU COMPLET, SANS BUGS, SANS PROBLEMES GRAPHIQUES, ET OPTIMISE ! BORDEL ARK, THE FOREST, CONAN EXILES, NIGHT OF DEAD, 7 DAYS TO DIE, RAFT, RUST , DON'T STARVE TOGETHER PEUVENT ALLER SE RHABILLER !

Du caca, aucun tutoriel, vous arrivez sur le jeu faut de debrouillé il y a rien pour vous aidez.

C'est la bagarre

Ce jeu est une drogue puissante.

Public conseillé : ☐ Je ne conseillerai pas ce jeu même à mon pire ennemi ☐ Les enfants ☐ Les fans du genre ou de la franchise ☑ Les casual gamers ☑ Tout public ☐ Les hardcore gamers ☐ Les PGM sud-coréens ☼ Graphismes : ☐ À vomir par terre ☐ Très mauvais ☐ Mauvais ☐ Corrects ☑ Bons ☐ Très bons ☐ Beaux à en chialer ( Quand tout est en Ultra ) € Qualité/prix : ☐ Gratuit ☐ Il faudrait me payer pour y jouer ☐ Attendez une promo ☑ Abordable ☐ Pas cher ☑ À ce prix là c'est cadeau € Configuration PC recommandée : ☐ L'ordi de ma grand mère ☐ Entrée de gamme ☑ Milieu de gamme ☑ Haut de gamme ☐ Un PC de la NASA ☼ La prise en main ☐ Inné ☑ Facile ☑Nécessite quelques heures ☐ Difficile ☐ Nécessite l'implantation d'un nouveau bras € Durée de vie ☐ Moins longue qu'une mouche ☐ Brève ☐ Plusieurs heures ☑ Plusieurs dizaines d'heures ☑ Plusieurs centaines d'heures ☐ Infinie @ Niveau de la traduction ☐ Non traduit ☐ Translater bei Uno Russkie ☑ Pas mal d'erreurs ☐ Quelques erreurs très peu fréquentes ☐ Nickel § Récurance de bug ☐ Le jeu est une sorte de gros bug en phase terminal ☐ Les bugs gènent le gameplay ☐ Les bugs ne gènent pas le gameplay mais sont présents ☐ Quelques bugs ☑ Le jeu est codé à la perfection % Optimisation ☐ Vraiment mauvaise ☑ Mauvaise ☑ Acceptable ☐ Correct ☐ Optimus Perfectus * Avis général ☐ N'y jouez pas ☐ À vos risques et périls ☐ À essayer ☑ Ne perdez pas plus de temps et jouez-y! ☑ Un must!

---{ Graphics }--- ☐ You forget what reality is ☐ Beautiful ☑ Good ☐ Decent ☐ Bad ☐ Don‘t look too long at it ☐ MS-DOS ---{ Gameplay }--- ☐ Very good ☑ Good ☐ It's just gameplay ☐ Mehh ☐ Watch paint dry instead ☐ Just don't ---{ Audio }--- ☐ Eargasm ☐ Very good ☑ Good ☐ Not too bad ☐ Bad ☐ I'm now deaf ---{ Audience }--- ☐ Kids ☑ Teens ☑ Adults ☐ Grandma ---{ PC Requirements }--- ☐ Check if you can run paint ☐ Potato ☑ Decent ☐Fast ☐ Rich boi ☐ Ask NASA if they have a spare computer ---{ Difficulty }--- ☐ Just press 'W' ☐ Easy ☐ Easy to learn / Hard to master ☐ Significant brain usage ☑ Difficult ☐ Dark Souls ---{ Grind }--- ☐ Nothing to grind ☐ Only if u care about leaderboards/ranks ☐ Isn't necessary to progress ☐ Average grind level ☐ Too much grind ☑ You'll need a second life for grinding ---{ Story }--- ☑ No Story ☐ Some lore ☐ Average ☐ Good ☐ Lovely ☐ It'll replace your life ---{ Game Time }--- ☐ Long enough for a cup of coffee ☐ Short ☐ Average ☑ Long ☑ To infinity and beyond ---{ Price }--- ☐ It's free! ☐ Worth the price ☑ If it's on sale ☐ If u have some spare money left ☐ Not recommended ☐ You could also just burn your money ---{ Bugs }--- ☐ Never heard of ☑ Minor bugs ☐ Can get annoying ☐ ARK: Survival Evolved ☐ The game itself is a big terrarium for bugs ---{ ? / 10 }--- ☐ 1 ☐ 2 ☐ 3 ☐ 4 ☐ 5 ☐ 6 ☑ 7 ☐ 8 ☐ 9 ☐ 10

On a invoqué le premier boss dès le début du jeu avec une amie. On est parti en courant dès qu'on a vu qu'il nous défonçait. On s'est séparé pour s'en sortir, le cerf m'a choisi, et j'ai passé une 30 minutes à courir dans les bois pour le semer. Meilleur début de partie, je recommande.

Il m’est encore arrivé quelque chose de dingue. C’était lors d’une soirée très alcoolisée, on parlait de Blaise Pascal et de Jul. On déplorait que nos vies de guerriers ne fussent pas vraiment mises à contribution. Un jeu d’aventure et de liberté, finalement, y’en a pas eu des masses depuis le dernier Elder Scrolls. AI Dungeon, d’accord, mais c’est très expérimental. OK, y a pléthore de jeux de survie nullos qui tentent de singer Minecraft et Rust. Mais putain, mes amis, mes compagnons, mes camarades, le PVP c’est ultra pourri. Veiller à tour de rôle sur sa base pour empêcher qu’un chômeur la pille à 15 heures de l’aprèm, c’est chiant. Et puis, on arrive à court de jeux multi qui nous intéressent tous. « Escape from Tarkov ? – Naaan, trop compliqué. – Satisfactory ? – Pas le temps, déso. – Civilization VI ? – Pfff, on a déjà poncé les autres. – Divinity Original Sins 2 ? – Faut déjà qu’on finisse le premier. – Mais… bordel ! – Y a bien ce jeu, là… Valheim. » Valheim, putain. Et c’est reparti pour 100 heures supplémentaires sacrifiées sur l’autel du vain divertissement.

Les aventures incroyables et fantastiques d’Hitlaf le Fou, Ivad Anlanussen, Xav de Ligonheim et… euh, Chang

Petit avant-propos très sérieux. Dans un souci d’inclusivité totale et de progressisme, nous avons choisi de recontacter notre très bon ami chinois, Chang. Monsieur Chang, spécialiste de l’exploration, est notre homme d’action et notre caution diversité. « Arigato », comme on dit par chez lui… ou alors c’est « xie xie » ? Qu’importe, c’est la même chose, l’important c’est que ça fasse exotique. Chang sera le premier Viking chinois, vivement l’adaptation Netflix ! On pourrait l’appeler : Chang’s Legacy: a Love Story about Trolls. Ou, pour le marché chinois : 张反对美帝国主义！ Nous nous retrouvâmes sur ces terres hostiles de Valheim, pour fonder d’abord l’amicale de JMLP. Rapidement, faute de participants aux meetings politiques, nous décidâmes d’abandonner les lieux pour fonder le kolkhoze Chez les amis de Staline, plus en accord avec nos valeurs économico-sociales. Nous fûmes rapidement attaqués par ces petites pourritures capitalistes de nains de la forêt. Malgré nos multiples expéditions punitives, ces idiots utiles du système se multipliaient au fil des semaines, mettant à l’épreuve nos fortifications. Pour faire face à ces incursions, nous entreprîmes de grandes explorations. D’abord sur l’île principale, pour y récolter du cuivre et de l’étain, nous permettant de forger des armes et armures en bronze. Puis, face à des attaques de trolls désastreuses, il était évident que l’âge de bronze devait prendre fin rapidement. Le fer, camarades, le fer. Il faut le battre quand il est encore chaud. Alors, nous construisîmes cette barque pour braver les océans. Et après des jours d’errance, de combats acharnés contre d’agressifs serpents de mer, nous aperçûmes les marécages. Ces lieux puants abandonnés des Dieux, où la lumière passait difficilement à travers les arbres sinistres. Après bien des difficultés et un accostage catastrophique, nous avions enfin mis la main sur une série de cryptes. C’est en minant de la boue dans ces dernières que nous récoltions de la ferraille. Et tels des vikings gitans, nous la transformions en fer. Nous étions suffisamment forts pour écumer les donjons des terres environnantes et y accumuler bien des richesses. Il fallait se rendre à l’évidence, nous étions devenus des bourgeois. Nous avions trahi la voie sacrée du communisme. Ainsi, nous abandonnâmes le kolkhoze. À l’aide de charrettes, nous transportâmes toutes nos ressources vers cette immense colline. Après un long travail de terrassement, il était temps de poser la première pierre de notre nouveau foyer : le gîte Skarl d’Estheim. Un château fortifié qui conviendrait parfaitement aux illustres seigneurs que nous étions. De ce lieu béni par Odin lui-même, nous pouvions enfin préparer des expéditions plus sérieuses. Nos ressources étaient suffisantes pour construire un drakkar et partir à l’assaut des montagnes et des plaines. Nous combattîmes toutes sortes de créatures : des dragons, des loups, des trolls, des gobelins. Nous tombâmes bien des fois, mais nous revînmes pour arracher la victoire finale. Nous voyageâmes si longtemps à travers ces vastes plaines ! Et puis, un jour, nous avions fait le tour du monde. Nous avions dépassé les 300 jours sur Valheim. Nos coffres débordaient de richesses, notre château comportait tous les raffinements modernes, même le restaurant Chez gros Mich’ était là. Alors, nous nous réunîmes lors d’une soirée très alcoolisée avec cette discussion étrangement familière : « Bon, on fait quoi, maintenant ? On arrive à court de jeux multi qui nous intéressent tous. »

L’alchimie numérique

Cinq millions de jeux vendus en un mois, un pic record à 500 000 joueurs connectés en même temps, Valheim est le plus gros succès indé depuis… Minecraft ? Sans doute. Pourtant, comme le tout récent Hadès, Valheim n’innove en rien. Il est la parfaite alchimie de nombreux ingrédients, utilisés par une très petite équipe de développeurs, nommée Iron Gate. Le craft ? La construction ? Les combats ? L’exploration ? Des mécaniques de gameplay vues et revues, des milliers de fois. Ce qui fait la profonde réussite du titre, comme Hadès, c’est d’avoir pris tous ces éléments et de les imbriquer parfaitement. Tout est agréable et intuitif dans Valheim. La fabrication n’est jamais trop compliquée, sans pour autant être édulcorée. C’est pareil pour tous les autres pans du gameplay. Ce qui fait de Valheim une franche réussite, c’est, selon moi, sa capacité à pousser à l’exploration et à une installation durable sur un lieu précis. Valheim met le doigt sur cet élément essentiel, là où se plantent la plupart des autres jeux du même style. C’est très difficile de créer un jeu qui pousse le joueur à explorer de lointaines contrées, tout en l’incitant à établir une base durable. Prenez Starbound, par exemple, c’est un échec cuisant : vous voyagez de planète en planète pour chercher de nouveaux minerais, mais le jeu ne vous laisse pas le temps d’établir votre QG. Les planètes sont trop éloignées les unes des autres pour que ce soit efficace de construire une grande base sur un endroit précis. Valheim se rapproche plus d’un Terraria que d’un Minecraft, qui privilégie la construction, ou que d’un Starbound, qui met l’accent sur l’exploration. Il y a un choix de game design qui peut paraître anodin, mais qui est en réalité mûrement réfléchi : les portails. Vous pouvez créer une paire de portails, vous permettant de vous téléporter entre deux lieux très éloignés. La subtilité ? Les métaux, ressources primordiales pour votre progression, ne sont pas transférables par téléportation. En premier lieu, le joueur organisera des expéditions, pour chercher les minerais. Une fois sur place, il pourra fabriquer un portail pour accéder facilement au matériel de sa base. En revanche, il devra organiser une expédition de retour pour exporter ces nouveaux minerais jusqu’à sa base. Cette contrainte est essentielle, car elle pousse à la fois à l’exploration, qui est grandement facilitée par les portails, mais aussi à la création d’une place de production, capable de transformer tous les matériaux efficacement. Un autre aspect important a permis la popularité de Valheim : l’accent sur la coopération au lieu de la confrontation. Dans la plupart des jeux de survie, comme Rust, Conan Exile ou autres, les joueurs s’affrontent constamment. Et c’est nul, parce qu’il faut être connecté tout le temps. Si vous n’êtes pas là, eh bien vos constructions seront pillées par des joueurs plus présents que vous. Sans compter le déséquilibre du PVP à partir du moment où des guildes organisées s’installent sur votre serveur. J'ai malheureusement atteint la limite de caractères, la suite ici : https://www.senscritique.com/jeuvideo/Valheim/critique/241350399

piffe paffe pouffe le sanglier

Graphismes : ☐ À vomir par terre ☐ Désastreux ☐ Mauvais ☑ Corrects ☐ Bons ☐ Excellents ☐ Beaux à en chialer ! Bande son (bruitages et musiques) : ☐ Inexistante… ☐ Catastrophique ☐ Mauvaise ☐ Moyenne ☑ Bonne ☐ Très bonne ☐ Parfaite Prix : ☐ Ça coûte un bras !! ☐ Élevé... ☐ Cher (attendez une promo) ☑ Abordable ☑ Pas cher ☐ À ce prix là, c'est cadeau ! ☐ Gratuit Configuration PC minimale : ☐ Un PC de la NASA ☑ Haut de gamme ☑ Milieu de gamme ☐ Entrée de gamme ☐ L'ordi de ma grand mère Prise en main : ☐ Nécessite l'implantation d'un nouveau bras ☐ Difficile ☐ Complexe (nécessite quelques heures) ☑ Correcte ☐ Facile ☐ Innée Durée de vie : ☐ Moins longue qu'une mouche (inférieure à 5h) ☐ Brève (entre 5h et 20h) ☐ Acceptable (entre 20h et 50h) ☑ Bonne (entre 50h et 200h) ☑ Très bonne (entre 200h et 500h) ☑ Excellente (entre 500h et 1000h) ☐ Infinie ! (supérieure à 1000h) Traduction : ☐ Inexistante ☐ Très mauvaise (à n’y rien comprendre) ☐ Mauvaise (beaucoup d’erreurs) ☐ Acceptable (quelques erreurs) ☑ Bonne ☐ Parfaite Récurrence de bug : ☐ Le jeu est une sorte de gros bug en phase terminale ☐ Beaucoup de bugs qui rendent le jeu difficilement jouable… ☐ Les bugs gênent le gameplay ☐ Existence de quelques bugs mais qui ne gênent pas le gameplay ☑ Très peu de bugs ☐ Le jeu est codé à la perfection Optimisation : ☐ Catastrophique ☐ Mauvaise ☐ Acceptable ☐ Bonne ☑ Très bonne ☐ À la perfection ! Succès en jeu : ☐ Aucun ☐ Plus rare que le safran... ☐ Correct ☑ Beaucoup ☐ À foison ! ☐ C'est que ça !!