Au bout d'un mois j'ai perdu un oeil à la chasse en 1v1 face à un ours, je me suis retrouvé en taule et ma femme a couché avec mon fils. ... 10/10

Ce jeu m'a permis d'assouvir mon fantasme de coucher avec ma soeur et ma mère

J'ai tué toute ma famille pour rester sur le trône et j'ai aimé.

sympa c'est comme eu4 sauf que tu peux coucher avec ta fille

Excellent jeu, cependant je crains d'être désormais fiché par les services de police, notamment après quelques phrases prononcées à haute voix lors de parties multijoueur telles que : * C'est bon j'ai juste à tuer tous ses enfants puis l'emprisonner et le décapiter pour gagner ses titres * Il y a quelqu'un pour trucider ma femme ? elle n'arrive pas à me faire de gosses * J'ai des gosses de 2 ans dans mes prisons, je vais les brûler pour gagner de la piété Pour fini si je devais mettre une note ça serait *Bruits de sirènes* *Porte qui explose* Heu non attendez ce n'est pas ce que vo...

"Mince, j'aimerais bien la sauter mais c'est ma cousine." Si vous avez toujours rêvé de pouvoir sortir cette phrase sans choquer vos potes, c'est le jeu pour vous.

Je n'ai pas encore assez jouer pour donner une évaluation pertinente.

Il y a des gens qui demandent, le plus sérieusement du monde, ce qu'on peut bien trouver à Crusader Kings pour jouer à ce qui est grosso modo une feuille excel complexe avec tableaux croisés dynamiques. Habituellement, j'ignore ces gens et je les croise brutalement dans le but de les faire tomber par terre. Mais parfois il arrive que ce soit quelqu'un qui ne mérite pas d'être maltraité parce qu'il vient tout juste d'arriver dans la société après avoir été découvert dans une petit île perdue proche des côtes indiennes, et que sa culture en matière de jeux vidéos se limite à courir dans la jungle pour essayer d'échapper aux tigres. Dans ce cas, je prends Gotama par les épaules, je le regarde droit dans les yeux et je lui dit quelque chose comme : "Gotama, mon brave, tu as déjà eu l'occasion de conclure en catastrophe un mariage arrangé juste pour pouvoir recruter ton beau-père dans une guerre tribale pour génocider le camp d'en face ? Et une fois la guerre gagnée, opté pour les compétences de manipulation et l'arbre de la séduction pour pouvoir folâtrer avec tout ce qui marche sur deux pattes ? Puis une fois que tu as une descendante, as-tu déjà pris ta fille tout juste majeure en plein complot pour essayer de tuer quelqu'un et l'avoir envoyée dans un couvent en punition ? Puis une fois ta fille bonne sœur, as-tu déjà utilisé ta compétence de séduction pour la séduire bien qu'elle soit ta fille et une nonne, pour lui faire une fille qui soit à la fois sa propre fille et sa demi-sœur ? As-tu déjà essayé de marier ta petite-fille au premier chef de guerre venu pour l'embarquer dans une autre guerre pour agrandir ton territoire avant d'essayer de séduire ta petite-fille qui est aussi ta deuxième-fille ? As-tu déjà réussi à avoir un arbre généalogique qui soit en réalité un buisson généalogique ?" "Si la réponse est non, Gotama, tu dois visionner un ou deux tutoriels puis essayer Crusader Kings gratuitement par le moyen technique de ton choix. Si tu n'es pas séduit toi-même par ton père qui est aussi ton demi-frère au bout de l'essai, tu pourras effacer ce jeu".

Comment dire ... Mon personnage a eu 4 fils : j'ai déshériter le premier. Enfermer le deuxième au cachot pour qu'il y meurt. Placer le 3eme en tant que commandant d'un armée qui allait perdre une bataille pour qu'il meurt. Et j'ai marié le 4eme a une femme bossu et grosse juste pour l'alliance que cela m'apportais... J'adore ce jeu !

J'ai commencé en tant que Comte dans une petite région d'Aquitaine. 2 ans après je deviens Roi de France suite à l'assassinat de celui-ci. Stress total, je me retrouve à diriger une dizaine de vassaux et de ducs pas content car je ne suis qu'un seigneur de 25ans sans expérience. Je me retrouve avec des factions en révolte, je dois donc abdiquer au trône après 3 ans de règne, ce fut court. Je suis rétrogradé simple Duc en Aquitaine, après 1an à essayer de rendre le peuple heureux, je me retrouve mort empoisonné lors de mon repas du soir, mon seul héritier était un enfant de 6 ans... Cet enfant essai de grandir tant bien que mal, il trouve un chiot égaré, il commence à être diplomate et rusé mais il tombe sur un livre de magie et quelques années plus tard il devient possédé par une entité de l'au-delà... -- Bref, en résumé très bon jeu, le récit est véridique, le jeu est très roleplay, tous les choix que vous ferez auront un impact sur votre dynastie. Pour information c'était une partie multijoueur, celui qui avait assassiné le Roi était mon pote IRL et il a avoué m'avoir aussi assassiné mon 1er personnage... Le gameplay de la guerre est très basique, le principal atout du jeu réside dans la diplomatie, les complots, les alliances envers les autres empires. Ce n'est absolument pas un jeu d'action ou de stratégie type Total War, c'est bien plus lent.

Mon fils a eu une relation extraconjugal avec sa cousine. 10/10

Je me suis marié, j'ai eu une fille, je l'ai donné à un comte pour qu'il se marie et m'en faire un allié. Je l'ai envahi. J'ai pendu ma fille. Je règne sur l'Islande.

Chérie, j'ai rétréci l'Écosse

En l'an de grâce 867, un peu plus de 5000 fiers guerriers vikings menés par le petit roi Hvitserk - c'est-à-dire moi - ce sont jetés sur le centre de l'Angleterre, bien déterminés à s'y tailler une place et à s'installer là, parmi les paysans, les imbéciles et les gueux aux mœurs si tendres. Avec autant d'hommes taillés d'un autre bois que les tribus primitives qui peuplaient la grande île, il n'a pas été très difficile de devenir maître de quelques terres, l'équivalent de deux duchés. Au même moment, Sven, mon frère, civilisait les peuples du nord de l'Écosse. Nous avons ri, nous avons pillé, nous avons éventré les hommes, mutilé les femmes et égorgé les enfants. L'avenir, autant que l'Angleterre, nous appartenait. Enivré d'or, de pillages et des récits de nos légendes, nous n'avons pas fait attention : à mesure que nos guerres les usaient, nos hommes devenaient de moins en moins nombreux. Hors de nos frontières, nos ennemis et leurs fausses croyances se rassemblaient, préparaient leur revanche dans l'ombre. C'est pourtant de l'intérieur, de nos coutumes ancestrales, que la nuit est arrivée. A notre mort, selon les règles de la partition confédérée, nos duchés ont été répartis entre nos enfants qui se sont déchirés pour récupérer les terres qu'ils considéraient désormais comme les leurs. La division a profité à nos voisins qui se sont jetés sur nous, rassemblés derrière leur foi impie en un homme nommé Jésus-Christ. Il y a eu des morts, des milliers d'hommes, des mendiants et des rois, fauchés par la guerre. Et puis, au milieu de la tempête, Sigurd, l'arrière-petit-fils d'Ivar, est monté sur le trône. De sa mère, il avait hérité d'une beauté qui hypnotisait ses interlocuteurs. De son père, il tenait une solide constitution qui devait lui assurer une vie presque éternelle. Dieu, enfin, lui avait offert le don de l'intelligence. Dès le début de son règne, il décida de focaliser son intérêt sur la foi et créa une nouvelle dynastie, une branche cadette de la précédente, pour bien marquer son autonomie. Ce fut lui qui, le premier, prit la décision de se convertir à la religion catholique pour être aimé de son peuple afin de pouvoir lever plus de troupes. Puis, par d'habiles manœuvre politiques, il parvint, en mariant ses enfants, à se faire de nombreux alliés sur l'île, et autant de revendications sur les terres de ses voisins. Il serait trop long d'expliquer comment, par ses manigances auprès du pape, il réussit à accumuler les richesses qui lui permirent de financer ses guerres, ou comment, alors que sa dévotion grandissait, il fut bientôt autorisé à lancer ses guerrier sur l'immense territoire du royaume d'Écosse pour y rétablir la foi. A la fin de son règne, qui avait duré presque 60 ans, il avait conquis plus qu'aucun homme : il était maître de l'Angleterre, depuis Londres jusqu'aux confins de l'Écosse. Pour accomplir sa destinée, il ne lui manquait plus que quelques terres au sud de l'île et à l'ouest du Pays de Galles. Après cette conquête, il pourrait enfin réaliser ce vers quoi il avait tendu toute son existence : réformer la foi, et instaurer la science, la raison et la polygamie au centre des nouvelles vertus. Mais Dieu n'était pas de cet avis. Bien conscient que son royaume pourrait ne pas lui survivre, Sigurd avait instauré une nouvelle loi de succession, dite de l'élection nordique. Chaque vassal pouvait choisir quelqu'un, dans la famille du dirigeant, pour hériter du royaume. Ainsi, à sa mort, Sigurd léguerait son titre à son second fils, Paul, le plus apte à régner. C'est précisément ce qu'il advint, à un détail près : à cette élection pour le royaume d'Angleterre s'ajoutaient les règles ancestrales de la partition confédérée pour tous les autres titres. A part le royaume que les vassaux avaient distribué par élection, les titres étaient répartis entre les enfants et, si suffisamment de terres étaient disponibles, de nouveaux titres étaient créés. Ainsi, Paul, le second fils de Sigurd, hérita bien de l'Angleterre, mais Samuel, son grand-frère, obtint l'Écosse, dont le titre fut créé dans la succession, ne laissant à Paul, en fin de compte, qu'un territoire minuscule en comparaison des terres de son frère devenu roi et rival. Paul n'avait pas hérité de la robustesse de son père, mais il était tout aussi beau, et encore bien plus intelligent. Il se tourna très jeune, vers l'intrigue, afin de récupérer, par les complots et les assassinats, ce qui lui était dû. Lui aussi eut une vie longue. D'une main, il frappait. Méthodiquement, il élimina son frère et les enfants de son frère, jusqu'à ce que le royaume d'Écosse finisse par lui retomber dans les mains par héritage. Les imprudents qui commettaient l'erreur de l'attaquer voyaient leurs troupes fondre, à mesure que les dirigeants étaient exécutés dans l'ombre. De son autre main, il caressait et flattait, après avoir dépensé quelques points d'expérience dans les atouts politiques, s'assurant que, cette fois-ci, tous les votes aillent bien dans la bonne direction. En fin de règne, tous ces assassinats eurent raison de sa santé mentale. Ayant hérité d'une nature aimable, il était rongé par le stress à chaque meurtre, jusqu'à finir plongé dans le remord et les regrets. Au début, les conséquences du stress furent modérées. Pour faire face, Paul fuyait au bordel ou dans les auberges pour se saouler jusqu'au matin. avec le temps, il fut pris de violentes crises de rage, au cours desquelles il frappait le malheureux qui passait sous sa main. Quelques jours plus tard, il partait s'isoler, ne réapparaissant pas pendant des mois. Ses vassaux le croyaient fou, mais personne n'osa se révolter. Par ses assassinats et ses crises de violence, Paul avait fini par instaurer un climat de terreur. Il était davantage craint que détesté et, dans le fond, c'est tout ce qui comptait. Tout ce qu'il avait fait, tout ce qu'il avait enduré, l'assassinat de son frère, le meurtre de ses enfants, c'était pour que Cytelbearn, depuis son plus jeune âge, se préparait à régner. Même au plus fort de sa maladie, son père avait toujours gardé un œil sur son éducation, en le formant à la diplomatie, en s'assurant que tous les grands du royaume le connaissent et l'aiment. L'enfant avait hérité des traits qui avaient peu à peu été choisis par la dynastie, au fil des générations : il beau, fort et intelligent. Quand son père fut enterré, il ne lui fallut que quelques mois pour faire oublier les excès de la génération précédente. En choisissant la diplomatie comme intérêt, il devint capable de se faire des dizaines d'amis sincères qui lui permettaient d'être quasiment immunisé au stress. Par son prestige, il faisait venir à sa cour les meilleurs chevaliers d'Europe et lançait des guerres qui étaient approuvées par tous les pays. Enfin, après tant de troubles et de morts, il allait pouvoir terminer la quête de son ancêtre : conquérir l'Angleterre, se jeter sur l'Irlande et réformer la foi. Mais il arriva à Cytelbearn quelque chose que personne n'avait pu prévoir, ni Paul, ni Sigurd, ni même Ivar au début de son épopée : Crusader Kings III, après plus de 300 heures de jeu, refusait désormais de se lancer. Encore plus que la dynastie des Hvitserk-Worcester, la sauvegarde était corrompue.

Vous vous réveillez totalement groggy avec un goût métallique sur la langue, tandis que votre vision s'habitude à la pénombre de la pièce. Vous vous demandez ce que vous fichez ici alors qu'une heure plus tôt vous étiez en train de regarder un stream de Crusader King III ! Pire, c'est avec effroi que vous constatez que vous êtes attaché à une chaise en bois et que ladite pièce a l'air d'être plus d'une cave en pierre qu'autre chose... En face de vous se tient une silhouette encapuchonnée dont la bouche tordue par un sourire malsain est visible, l'ombre tient une dague à l'extrémité fort pointue. Silhouette : Salut mon cher ami... Tu as été choisi au hasard, un peu comme dans ce jeu auquel tu sembles t'intéresser, pour m'écouter. Et j'imagine que tu vas sagement m'écouter, pas vrai ? L'ombre agite brièvement la dague avant de poursuivre. C'est bien ce qu'il me semblait. Je vois que tu es intéressé par Crusader King III. Et je le comprends. Oh oui, je le comprends, il a l'air bien le jeu pas vrai ? En vérité c'est exactement le cas ! Pratiquer l'inceste, torturer son vassal auquel sa tête ne revient pas, un tutorial clair, une nouvelle interface, le portage de mods au top... La gestion du stresss, les dynasties, les traits génétiques... Bref, je pourrais continuer longtemps des qualités du jeu, mais je le ferais pas. La silhouette lance la dague en direction d'un tableau de bois à votre gauche, la lame s'enfonce dedans sa difficulté alors que de nombreux papiers sont collés et visibles sur ce même tableau. Silhouette : Tout simplement parce qu'il y a suffisamment d'avis positifs pour se faire une idée sans compter les tests ou mieux les streams comme celui que tu regardais tout à l'heure. Non, non, à la place, je vais juste... Quoi ? Pourquoi je t'ai enlevé ? Tu ne crois pas au hasard ? Hé bien, on me dit souvent sans cœur, parfois sadique mais je suis simplement appliqué dans mon travail, et tu comprendras pourquoi toi. Pour l'heure, je veux parler de ce qui ne va pas, et ce que j'aimerais voir à l'avenir dans le jeu. J'ai ton attention ? Bien ! La silhouette se rapproche du tableau pour récupérer la dague avant se mettre à parler lentement. Commençons par les bugs et les détails qui ne vont pas... L'ombre plante soudainement la dague dans le bois. - J'ai eu un petit crash depuis la mise à jour, j'espère que cela ne se reproduira pas. Il parait que parfois ça crash, il faut le savoir. A nouveau la lame se plante, et elle le fait à chaque fois que le kidnappeur fait une tirade comme un chat raclant le canapé devant quelque chose qui le frustre et qui est hors de sa portée... - Il faut absolument un bouton pour lier nos armées à ceux des alliées, je ne comprends même pas pourquoi ce simple bouton n'existe pas alors que dans les autres jeux c'est le cas. Rien de plus frustrant de perdre une guerre car nos alliés sont aussi cons que des moutons tandis que l'ennemi a un cerveau... - Réparer ou faire quelque chose au niveau des évents liés à l'obésité car ils sont trop rares ou se déclenchent pas. J'avais un dirigeant devenu gras comme un cochon à ses 40 ans, et j'ai pris la décision de perdre du poids mais rien, nada pendant 43 ans !! Pas un seul évent lié à ça, ou une chance d'en perdre. Il est mort à 83 ans en étant aussi gras que Jabba le Hutt ! C'est honteux !

Salut, tu as toujours voulu gérer une dynastie de nains incestueux ? Invente ta propre religion, j'ai fait une secte de nudiste cannibales qui tolèrent l'inceste, et j'ai maintenant une dynastie de nain incestueux avec plusieurs maladies bizarres, tout nu, en guerre contre le saint empire romain ! Trop stylé !!

Un simulateur de consanguinité bien réalisé

20h : je vais jouer 20 minutes le temps de vassaliser le voisin. 20 minutes plus tard : j'ai vassalisé le voisin, conquis la moitié de l'Europe, je me suis fait assassiner 2 fois, mon arbre généalogique devrait s'appeler une jungle généalogique, et il est 6h du matin

Après un minutieux examen, je pense... JE PENSE... que c'est pas trop mal. Mais je sais pas trop encore. Laissez moi 1400 heures supplémentaire, je reviendrais vers vous.

Aimez-vous fixer une carte pendant 10 heures en une seule journée ? Vous aimez fonder et élever une famille ? Aimez-vous les intrigues politiques ? Aimez-vous partir de rien et vous faire un nom pour votre famille ? Aimez-vous tromper votre femme ? Aimez-vous torturer votre cousin ? Aimez-vous assassiner chaque personne de votre famille et exterminer entièrement son arbre généalogique ? J'ai le jeu qu'il vous faut... !

CK3, un jeu pas fait pour tout le monde. Après un didacticiel relativement sommaire mais qui a le mérite de laisser au joueur l'opportunité de découvrir les mécanismes du jeu par lui-même (pour peu qu'il ait la volonté et la curiosité de le faire), le dernier jeu de Paradox Interactive nous montre déjà tout son potentiel en terme de contenu et ce malgré sa version "de base". En effet, ici vous aurez à loisir l'occasion de vous immerger dans le role-play d'un seigneur du Moyen-Age, avec un souci du détail (tel que les personnages animés bien plus vivants que les portraits du précédent opus) mais aussi une interface mieux pensée (vous avez accès à toutes les informations nécessaires a la pointe de votre souris), ou bien encore un système d'hameçons bien venu afin de pimenter le gameplay d'intrigue. On pourrait également mentionner le peu de limitations quant au choix du personnage ; ici, a priori, seuls le pape et les républiques sont inaccessibles (mais bon ce qu'on veut c'est incarner un seigneur féodal, au diable les élections, la démocratie tout ça tout ça, n'ai je pas raison ?). En somme, cette version de base de CK3 permet une expérience assez complète et sans ce sentiment de frustration que l'on pouvait avoir dans CK2 en voyant une bonne partie des personnages inaccessibles car conditionnés à l'achat préalable d'un dlc. Mais. Car oui, il y a un mais. (sinon c'est pas drôle) Ce jeu ne plaira clairement pas à tout le monde. Il demande une certaine faculté d'immersion, de pouvoir se fixer ses propres objectifs, d'être curieux, patient, d'aimer lire (les fenêtres d'événements), d'être au chôm... d'avoir du temps libre, et par dessus tout d'avoir un goût prononcé pour la période médiévale (sans pour autant être trop pointilleux car les fleurs de lys c'est pas avant le XIIe siècle pour le Roy de France et, non, au IXe siècle les boucliers n'ont pas la forme des écus du XIIIe... Mais BREF passons). Quant à la critique du système de guerre, ma foi ne considérant pas ce jeu comme un simulateur de guerre médiévale et encore moins de tactique cela n'est pas dérangeant. L'intérêt principal du jeu, à mon sens, se retrouve dans les intrigues et complots (ainsi que les mariages et la gestion de la dynastie), pour l'économie, le commerce, la guerre etc dirigez vous plutôt vers EUIV. En conclusion, si vous remplissez la majorité des critères cités plus haut ce 3e opus vous plaira, autrement vous allez rager, pester contre le jeu, regretter votre achat, trouver des problèmes qui n'en sont pas, mettre une évaluation négative et ne plus jamais toucher au jeu.

Je suis devenu l'empereur le plus consanguin de la Terre ... mais j'ai un harem de cousine alors ça va.

Bonjours, ce jeu est vraiment remarquable. Etant un tout nouveau joueur pc et fan de stratégie je me suis lancé sur total war, série de jeu très connue, mais il manquait quelque chose, puis j'ai découvert crusader king 3, et là j'ai enfin découvert ce qu'il me manquait, des complots, de la diplomatie, de l'anticipation, car oui, mal gérer sa succession peut diviser votre empire en 3 :') et quand la succession est par vote ou 1 seul héritier il y aura toujours un frère ou un cousin pour venir essayer de prendre votre place. dans CK3 on peut se la jouer diplomatique, conquérir grâce au succession,par la guerre et bien sur grâce aux complots qui pour moi sont juste géniaux, tueur tout ses frères n'aura jamais était aussi jouissif dans ma vie ( dans le jeux hein ). franchement je recommande pour tout ceux qui cherche un bon jeux de gestion, de conquête et de fourberie. PS: ne couchez pas avec les membres de votre famille, la consanguinité est très pénalisant, dans le jeux non plus d'ailleurs.

Voir un monde dans lequel le Pape es prix en flagrant délit de cannibalisme devant la communauté internationale sans se faire virer de son poste tout en se permettant de vous juger parce que vous essayez tout à fait sainement d'épouser votre nièce me fait sérieusement remettre ma santé mentale en question... Ce jeu est incroyable !

L'infanticide est une activité étonnamment amusante

Sympa les dix premières heures. Après ce n'est que de l'addiction.