SteamCritique
Quiz
🌐 FR
Stardew ValleyStardew Valley
J'avais, comme tout le monde, une vie minable. Un travail pourri dans un open-space totalitaire, un appartement de 9m2 sans chiotte, et une addiction à l'héroïne. Je traînais ma carcasse au jour le jour, maudissant mon existence.

Requiem for a dream.

Mais tout a changé le jour où j'ai reçu une lettre de mon grand père, ex-junkie déguisé en père noël et mort d'une cirrhose du foie. Son contenu évoquait l'existence d'un hangar désaffecté dans une campagne paumée au fin fond de la Creuse, à Bourg-Les-Oies. Il parlait d'une ancienne fabrique de gnôle de prunes et d'un champ de cannabis qu'il entretenait avec son pote Louis. Le goût des saveurs du terroir m'ont apparu soudainement salvatrices, c'est avec nostalgie que je me remémorais mon enfance à la campagne : le chant des oiseaux, l'odeur des champs, la goutte à 70 degrés qui avait rendu aveugle le gros Pierrot et la bonne défonce au cannabis 100% bio/commerce équitable. Sans aucun délai de réflexion, j'ai fui l'enfer urbain et pris le premier bus direction Bourg-Les-Oies. Une fois sur place je fus accueilli par Louis, l'ancien ami de mon grand père, et par Roxane, une meuf chelou qui construisait des cabanes en bois bancales à travers la campagne. Le site du hangar était un beau bordel, heureusement Louis m'a filé quelques bidons de Round Up. J'ai déversé quelques litres un peu partout histoire d'être sûr de bien crever toutes les saloperies qui s'y trouvaient, puis j'ai balancé les bidons vers le lac. La campagne, c'est quand même bien pratique, pas besoin de s'emmerder avec le tri sélectif. Une fois le travail terminé, j'ai enfin pu aller à la rencontre des autochtones. Il y avait de tout dans ce village, une épicerie, un bar PMU et un petit supermarché. J'ai pu noter la présence de cinq meufs célibataires et prêtes à tout : Abigaëlle, Hanna, Léa, Marie et Périne. Cette dernière avait un charme authentique, bien qu'elle faisait un peu vieille pour son âge à cause des méthamphétamines qu'elle prenait quotidiennement.

Enter the void.

Lors de mon premier shoot à la fin de la journée, j'ai eu une révélation, un blast. Il fallait que je reprenne les affaires du vieux, que je cultive. Oui, mais que je cultive moderne : du pavot, du cannabis, de tout. Devant mes yeux, je voyais défiler les possibilités infinies de cultures. La défonce ultime, la quête du paradis était à ma portée. Le lendemain, j'ai acheté chez Pierrot, un hippie un peu zarb qui tient l’épicerie, quelques pousses de pavot. Je me suis empressé de les planter et de les arroser. Une fois le travail terminé, j'ai senti un sentiment intense de satisfaction, je savais que j'avais débuté quelque chose de grandiose. D'un pas déterminé, j'ai rejoint le village pour acheter des ustensiles pour distiller de la gnôle. Il fallait que je me diversifie, je ne pouvais pas uniquement me reposer sur la culture. Les jours passaient, je menais une vie paisible, j'irriguais ma plantation, je distillais dans ma cave de la gnôle de prunes et je draguais la petite Périne en lui offrant quelques shoots d'héroïne. Quand j'avais du temps libre, je pêchais à la dynamite avec Francis, ça faisait des ravages chez les poissons, c'était vraiment fun. Francis il en avait rien à foutre des quotas instaurés par ces cons de gauchistes. Sacré Francis, il aimait bien déconner. Parfois quand on était bourrés, on allait caillasser le vieux SDF qui vivait dans sa tente près d'une mine désaffectée, on a même foutu le feu à sa tente, qu'est-ce qu'on a rigolé ce jour là ! Vers la fin du printemps, Roxane est venu me proposer la construction d'un chenil pour élever des chiens de combat. Une des grandes traditions dans le village, c'était les combats de chiens. On pariait notre RSA sur nos clébards favoris. Ça mettait pas mal d'ambiance, en attendant le prochain match de foot. J'ai réussi à économiser l'équivalent de quelques smics en vendant ma dope aux habitants pour faire l'acquisition de plusieurs pitbulls, c'était le début d'une ère prospère. Cependant, la quête de la défonce ultime n'était pas sans embûche. Les jours de pluies j'étais parfois victime d'hallucinations bizarres, je courrais dans la forêt, trempé, et j'entendais des sons étranges et terrifiants. Je n'ai jamais compris ce que c'était, comme si les fantômes de tous les drogués venaient m'avertir d'un grave danger. En parlant de fantôme, j'allais parfois dans la mine désaffectée pour y glaner quelques minéraux que je vendais à un taré qui se prenait pour un guerrier et qui m'avertissait que des créatures terrifiantes se cachaient dans ce lieu maudit. Ce mec se défonçait à l'acide, ça lui a pas mal ramolli le cerveau parait-il. Au fil du temps et de mes rentrées d'argent, j'ai pu acquérir de plus grandes plantations, diversifier mes cultures pour répondre à la demande des habitants, toujours plus friands de drogues dures. A ce jour, je cherche toujours à atteindre mon idéal, à savoir l'ultime blast qui permettrait d'atteindre le paradis. La quête est longue, mais elle est nécessaire. Une fois que l'on commence à cultiver, on ne peut plus s'arrêter.

Que dire de Stardew Valley ?

C'est une vraie petite saloperie addictive, un mélange bien senti entre Harvest Moon et Animal Crossing. Le jeu regorge de possibilités de cultures et d'élevage. Il intègre un petit système de quêtes sympathique. Soit des quêtes aléatoires où il faut en général se procurer un composant précis et le fournir à un habitant, soit des quêtes définies à l'avance, qui font office de tuto puis de petites histoires. Il y a également un système simple mais efficace de sociabilité avec les villageois : plus ils vous apprécient, plus ils vous donneront des cadeaux en échange, vous pouvez même vous marier si vous entretenez de bonnes relations. En plus de ça, le jeu possède de très nombreux lieux à visiter : forêt, mine, plage, village, désert, etc. L'année se répartie sur quatre saisons de 28 jours chacune, ce qui offre de la diversité dans les cultures à employer en plus d'ouvrir la voie à un theorycraft (assez simple) pour cultiver ce qui est le plus rentable à court, moyen ou long terme. Les journées sont assez courtes et demandent de planifier de manière plus ou moins rigoureuses les tâches que vous allez accomplir. Stardew Valley est particulièrement vaste, vous pouvez passer vos journées à pêcher, à couper du bois, à ramasser des trucs chelous dans la forêt, à miner dans une ancienne mine remplie de bestioles agressives. Le jeu intègre un système de compétences à monter (récolte, pêche, combat, minage, etc). Il vous faudra également ramasser des artefacts puis les fournir au musée pour obtenir ensuite des récompenses spéciales. C'est mignon (le jeu est très joli, quoique un peu générique), un peu concon par moment, mais ne vous méprenez pas : ce jeu vous fera sombrer dans la dépendance. Son système vicieux de sauvegarde à la fin de la journée vous pousse à entrer dans le jeu du « aller, encore une petite journée et j'arrête ». Sauf qu'au final, on ne voit pas le temps passer et on fini par se coucher à quatre heures du matin. Note : 17/20
139 votes funny
J'avais, comme tout le monde, une vie minable. Un travail pourri dans un open-space totalitaire, un appartement de 9m2 sans chiotte, et une addiction à l'héroïne. Je traînais ma carcasse au jour le jour, maudissant mon existence.

Requiem for a dream.

Mais tout a changé le jour où j'ai reçu une lettre de mon grand père, ex-junkie déguisé en père noël et mort d'une cirrhose du foie. Son contenu évoquait l'existence d'un hangar désaffecté dans une campagne paumée au fin fond de la Creuse, à Bourg-Les-Oies. Il parlait d'une ancienne fabrique de gnôle de prunes et d'un champ de cannabis qu'il entretenait avec son pote Louis. Le goût des saveurs du terroir m'ont apparu soudainement salvatrices, c'est avec nostalgie que je me remémorais mon enfance à la campagne : le chant des oiseaux, l'odeur des champs, la goutte à 70 degrés qui avait rendu aveugle le gros Pierrot et la bonne défonce au cannabis 100% bio/commerce équitable. Sans aucun délai de réflexion, j'ai fui l'enfer urbain et pris le premier bus direction Bourg-Les-Oies. Une fois sur place je fus accueilli par Louis, l'ancien ami de mon grand père, et par Roxane, une meuf chelou qui construisait des cabanes en bois bancales à travers la campagne. Le site du hangar était un beau bordel, heureusement Louis m'a filé quelques bidons de Round Up. J'ai déversé quelques litres un peu partout histoire d'être sûr de bien crever toutes les saloperies qui s'y trouvaient, puis j'ai balancé les bidons vers le lac. La campagne, c'est quand même bien pratique, pas besoin de s'emmerder avec le tri sélectif. Une fois le travail terminé, j'ai enfin pu aller à la rencontre des autochtones. Il y avait de tout dans ce village, une épicerie, un bar PMU et un petit supermarché. J'ai pu noter la présence de cinq meufs célibataires et prêtes à tout : Abigaëlle, Hanna, Léa, Marie et Périne. Cette dernière avait un charme authentique, bien qu'elle faisait un peu vieille pour son âge à cause des méthamphétamines qu'elle prenait quotidiennement.

Enter the void.

Lors de mon premier shoot à la fin de la journée, j'ai eu une révélation, un blast. Il fallait que je reprenne les affaires du vieux, que je cultive. Oui, mais que je cultive moderne : du pavot, du cannabis, de tout. Devant mes yeux, je voyais défiler les possibilités infinies de cultures. La défonce ultime, la quête du paradis était à ma portée. Le lendemain, j'ai acheté chez Pierrot, un hippie un peu zarb qui tient l’épicerie, quelques pousses de pavot. Je me suis empressé de les planter et de les arroser. Une fois le travail terminé, j'ai senti un sentiment intense de satisfaction, je savais que j'avais débuté quelque chose de grandiose. D'un pas déterminé, j'ai rejoint le village pour acheter des ustensiles pour distiller de la gnôle. Il fallait que je me diversifie, je ne pouvais pas uniquement me reposer sur la culture. Les jours passaient, je menais une vie paisible, j'irriguais ma plantation, je distillais dans ma cave de la gnôle de prunes et je draguais la petite Périne en lui offrant quelques shoots d'héroïne. Quand j'avais du temps libre, je pêchais à la dynamite avec Francis, ça faisait des ravages chez les poissons, c'était vraiment fun. Francis il en avait rien à foutre des quotas instaurés par ces cons de gauchistes. Sacré Francis, il aimait bien déconner. Parfois quand on était bourrés, on allait caillasser le vieux SDF qui vivait dans sa tente près d'une mine désaffectée, on a même foutu le feu à sa tente, qu'est-ce qu'on a rigolé ce jour là ! Vers la fin du printemps, Roxane est venu me proposer la construction d'un chenil pour élever des chiens de combat. Une des grandes traditions dans le village, c'était les combats de chiens. On pariait notre RSA sur nos clébards favoris. Ça mettait pas mal d'ambiance, en attendant le prochain match de foot. J'ai réussi à économiser l'équivalent de quelques smics en vendant ma dope aux habitants pour faire l'acquisition de plusieurs pitbulls, c'était le début d'une ère prospère. Cependant, la quête de la défonce ultime n'était pas sans embûche. Les jours de pluies j'étais parfois victime d'hallucinations bizarres, je courrais dans la forêt, trempé, et j'entendais des sons étranges et terrifiants. Je n'ai jamais compris ce que c'était, comme si les fantômes de tous les drogués venaient m'avertir d'un grave danger. En parlant de fantôme, j'allais parfois dans la mine désaffectée pour y glaner quelques minéraux que je vendais à un taré qui se prenait pour un guerrier et qui m'avertissait que des créatures terrifiantes se cachaient dans ce lieu maudit. Ce mec se défonçait à l'acide, ça lui a pas mal ramolli le cerveau parait-il. Au fil du temps et de mes rentrées d'argent, j'ai pu acquérir de plus grandes plantations, diversifier mes cultures pour répondre à la demande des habitants, toujours plus friands de drogues dures. A ce jour, je cherche toujours à atteindre mon idéal, à savoir l'ultime blast qui permettrait d'atteindre le paradis. La quête est longue, mais elle est nécessaire. Une fois que l'on commence à cultiver, on ne peut plus s'arrêter.

Que dire de Stardew Valley ?

C'est une vraie petite saloperie addictive, un mélange bien senti entre Harvest Moon et Animal Crossing. Le jeu regorge de possibilités de cultures et d'élevage. Il intègre un petit système de quêtes sympathique. Soit des quêtes aléatoires où il faut en général se procurer un composant précis et le fournir à un habitant, soit des quêtes définies à l'avance, qui font office de tuto puis de petites histoires. Il y a également un système simple mais efficace de sociabilité avec les villageois : plus ils vous apprécient, plus ils vous donneront des cadeaux en échange, vous pouvez même vous marier si vous entretenez de bonnes relations. En plus de ça, le jeu possède de très nombreux lieux à visiter : forêt, mine, plage, village, désert, etc. L'année se répartie sur quatre saisons de 28 jours chacune, ce qui offre de la diversité dans les cultures à employer en plus d'ouvrir la voie à un theorycraft (assez simple) pour cultiver ce qui est le plus rentable à court, moyen ou long terme. Les journées sont assez courtes et demandent de planifier de manière plus ou moins rigoureuses les tâches que vous allez accomplir. Stardew Valley est particulièrement vaste, vous pouvez passer vos journées à pêcher, à couper du bois, à ramasser des trucs chelous dans la forêt, à miner dans une ancienne mine remplie de bestioles agressives. Le jeu intègre un système de compétences à monter (récolte, pêche, combat, minage, etc). Il vous faudra également ramasser des artefacts puis les fournir au musée pour obtenir ensuite des récompenses spéciales. C'est mignon (le jeu est très joli, quoique un peu générique), un peu concon par moment, mais ne vous méprenez pas : ce jeu vous fera sombrer dans la dépendance. Son système vicieux de sauvegarde à la fin de la journée vous pousse à entrer dans le jeu du « aller, encore une petite journée et j'arrête ». Sauf qu'au final, on ne voit pas le temps passer et on fini par se coucher à quatre heures du matin. Note : 17/20
139 votes funny
Si vous aimez les poules achetez ce jeu, vous aurez des poules. J'aime les poules, j'ai acheté ce jeu et j'ai des poules. Très bon jeu avec de très belles poules.
119 votes funny
J'ai acheté ce jeu à ma femme, elle est partie avec lui. Ne présentez pas ce jeu à votre femme.
110 votes funny
Trop chronophage, ce jeu m'empêche réellement de trouver un travail....
94 votes funny
65h de jeu en une semaine alors que j'ai un travail à l extérieur, je ne suis pas en congé et je ne suis pas en arrêt maladie. J'ai juste un peu de la peine à expliquer à mon boss pourquoi je suis subitement aussi fatigué... 10/10 et tant pis pour mes amis que je ne vois plus, je m'en fais d'autres dans Stardew Valley de toute façon !
93 votes funny
> J'hérite de la ferme de mon grand-père. > Je visite le village à coté. > Je deviens ami avec un des villageois. > Celui-ci m'envoie une bombe dans ma boite au lettre. 10/10 : Un jeu très paisible !!
74 votes funny
Ce jeu, c'est comme un gros câlin, mais sans les nichons. :D
73 votes funny
This game has the quality of a AAA nintendo game. But it's made by a single dude, and he's working faster than nintendo. 10/10
66 votes funny
Calme et doux. Comme une glace à la cerise au premier jour de l'été.
52 votes funny
L'autre jour, Koba laD m'arrête rue de Rivoli et me dit : "Han je suis fan de vos critiques sur Steam, mais pourquoi n'avoir jamais évalué Stardew Valley que vous avez depuis si longtemps ?" Nan je déconne. Stardew Valley c'est un jeu qu'on est censé aimer. Parce qu'il est l'oeuvre d'un seul homme. Parce qu'il est mignon. Parce qu'il est long. Parce qu'il détend. Parce qu'il véhicule des valeurs nostalgiques. Parce qu'il permet de se projeter dans un environnement sain et un futur apaisé. Parce qu'il vous berce d'une musique ronronnante et que ses sons se font douillets. Puic, twit, bloup. Mais moi, sorry, j'ai essayé, ré-essayé, et, Stardew Valley m'em***. On est supposés se relaxer et vivre d'amour, de légumes, et de pommes. Sauf que la journée passe vite. Si le soir, vous n'êtes pas rentré(e), parce que vous avez mal calculé le parcours (aller acheter ceci, aller voir telle personne, explorer tel endroit, travailler dans votre potager, ou que sais-je), vous tomberez inconscient(e) sur le sol (la vie au grand air, ça use), et perdrez votre argent (!). De plus, de nombreux dangers vous guettent, et la partie de campagne ne sera pas de tout repos. C'est un détail, pour beaucoup. Mais pour moi, un cadre de vie champêtre, rustique, une ambiance pépère, de gestion de ferme et simulateur de rencontres, ça doit se faire sans suer sur le chrono et le danger - " si jamais je passe à la boulangerie je vais m'évanouir avant d'atteindre le lit". Les déplacements dans les alentours, liés aux heures d'ouverture / fermeture des magasins ou de la présence des gens entraîne une poussée de stress tellement la timeline est serrée dans la Stardew Valley. Gros dilemme de la journée, j'achète du beurre ou je vais draguer ? Et puis va falloir se bastonner. Tôt ou tard. Du blob etc. De fait, il va ressembler un peu à Terraria au niveau des combats. Et je n'avais pas du tout envie de me battre. Je suis venue planter des tomates. J'y retourne de temps en temps, car, la meilleure partie, c'est tout de même de faire croître et prospérer sa ferme. Dans mon jardin, je n'ai pas peur de rater le couvre-feu. Alors après avoir planté des patates et cueilli mes poireaux, vendu mes fruits et construit une scie, je vais me coucher contente. Le lendemain je retourne sur Material Girl.
49 votes funny
Très bon jeu de tir , Stardew valley est un jeu pour amateur de FPS
46 votes funny
Je sors avec 10 personnes en même temps, et j'ai quand même le temps de cultiver des patates et de faire du fromage 10/10.
45 votes funny
Pouvoir se débarrasser de ses enfants en les transformant en pigeons 10/10
41 votes funny
Ma Vache A Grossi
39 votes funny
J'ai des poules, j'aime bien les poules j'en ai plein. Elles sont belles mes poules. J'ai un chat aussi mais il fait rien du coup le jeu est bien achetez le.
38 votes funny
Meilleures heures perdues de toute ma vie.
35 votes funny
only played a bit, but fun game
32 votes funny
Il est navrant que les seules évaluations que j'ai écris sur steam soient uniquement dans le but d'acquérir un badge. En temps normal, je fais partie de cette majorité silencieuse : par paresse, par manque de temps, pour ne pas répéter ceux que les autres ont déja pu écrire. Pour être honnête, je n’apporterai rien de plus que ce qui a été dit ou écrit. Mais bon, moi, je veux mon badge (ne me demandez pas pourquoi, ça reste, même pour moi, un mystère). Alors pour une fois, autant faire les choses à peu prét bien. Essayons d'aborder le sujet : Stardew Valley c'est comme : La douce brise encore fraiche d'un printemps encore précoce. Saison synonyme de renouveau, dans laquelle commence notre épopée. Nous ne connaissons pas grand chose du background de notre personnage. Nous avons juste cette lettre léguer par notre Grand-Père sur son lit de mort, qui dans un dernier râle, nous demande d'ouvrir cette lettre seulement quand le temps sera venu, quand nous allons commencer à jouer. C'est le renouveau que nous attendions : cette lettre nous apprend que nous héritons d'une ferme dans le village de Pelican Town. Nous faisons, alors, connaissances des autochtones qui l’habitent , à connaitre leurs préférences, à les aimer. Stardew Valley c'est comme : L'odeur du bitume encore chaud arrosé par une forte averse orageuse lors d'un été suffoquant. Bien que dans notre histoire, nous n'avons pas beaucoup de routes. De toutes façons, nous n'avons pas de tracteurs, nous allons travailler à la main. Grâce à la force de l'index et du majeure pour cliquer sur la terre ne demandant qu'à être retourné/semé/récolté. Et bien, c'est du travail de jouir des bien-faits de la nature! Malgré tout, nous nous satisfaisons des modestes rétributions gagnées à la moiteur de nos mains afin d'améliorer nos outils et faire construire quelques structures supplémentaires. Stardew Valley c'est comme : les couleurs rougeoyante des feuilles que l'on peut apercevoir dans ces quelques jours bien trop éphémère de l'automne. Pour nous accompagner dans la contemplation de cette saison, nous pouvons élever quelques animaux. Avec deux-trois poules et quelques vaches, nous nous sentons moins seuls. En échange d'un peu d'attentions et un peu de foins, elles nous partagent leurs œufs et leur lait. Nous partageons à notre tours ces quelques denrées avec ces habitants que l'on appel maintenant : "Nos chers voisins" Stardew Valley c'est comme : la chaleur réconfortante d'un bon feu de bois lors des longues soirée hivernales. la saison où la nature reprend ses droits. Nous assistons alors, impuissant, à la mise en friche de nos terres cultivable, du vide laisser par nos animaux qui avaient prit l'habitude de vagabonder dans les pâturages autrefois vert. Tout redevient calme... enfin, en apparence. puisque nous découvrons qu'il y a encore beaucoup à faire, que nous avons un gouffre mystérieusement sans fin à explorer, peuplé de créatures inamicales, mais riches en matériaux rares que nous pourrons récupérer si nous parvenions à sortie vivant de cette enfer. Et voila, une année est passée à Stardew Valley. Il reste encore tant à découvrir... Nous nous réjouissons du chemins restant à parcourir et nous profitons de chaque instant dans ces contrées idylliques. Désolé pour cet avis approximatif, ces veines tentatives bucoliques et poétiques. Avant de dire que je déraille, je vous recommande de jouer à ce jeu. Je suis certain qu'il ne vous laissera pas indifférent. Pour certain, il vous marquera. Il fait partie de ces jeux pour lequel, j'aimerai bien me faire effacer la mémoire afin de le recommencer et de le redécouvrir. Avant que la science fasse des progrès, ou qu’Alzheimer me gagne, j’espère au moins que mon évaluation aura donné l'envie à quelqu'un de se lancer dans cette aventure. Quand je pense au temps que j'ai perdu à écrire ces quelques lignes alors que j'aurai pu jouer à Stardew Valley... Au moins, j'ai mon badge, et je n'ai pas écris "Pouet".
32 votes funny
ça fait 5 jours j'ai pas lâché ce jeu libérez-moi par pitié
30 votes funny
this game ruined my social life and my career and i don't mind
26 votes funny
Ce jeu a guéri ma dépression.
23 votes funny
Mon temps de jeu en dit long
23 votes funny
Pierre quand il ouvre pas sa boutique le mercredi j'ai envie de le piece control
21 votes funny
My life... is potato.
20 votes funny
Ouai pas mal du tout mais je prefere GTA V
19 votes funny

Top 100

  • Black Myth: Wukong
  • Lethal Company
  • Call of Duty: Modern Warfare II
  • EA SPORTS FIFA 23
  • Palworld
  • Lost Ark
  • Battlefield 2042
  • 鬼谷八荒 Tale of Immortal
  • Sons Of The Forest
  • ELDEN RING
  • Halo Infinite
  • Battlefield V
  • The Sims 4
  • NARAKA: BLADEPOINT
  • Red Dead Redemption 2
  • Apex Legends
  • Fall Guys: Ultimate Knockout
  • Cyberpunk 2077
  • NBA 2K20
  • Baldur's Gate 3
  • Destiny 2
  • New World: Aeternum
  • Hogwarts Legacy
  • Among Us
  • Grand Theft Auto IV: Complete Edition
  • Last Epoch
  • Valheim
  • Sekiro: Shadows Die Twice - GOTY Edition
  • Ring of Elysium
  • Phasmophobia
  • Raft
  • Risk of Rain 2
  • Hunt: Showdown 1896
  • Monster Hunter: World
  • PUBG: BATTLEGROUNDS
  • HELLDIVERS 2
  • World of Warships
  • Black Squad
  • Life is Strange 2
  • Satisfactory
  • Human Fall Flat
  • World of Tanks Blitz
  • Paladins
  • VRChat
  • Z1 Battle Royale
  • Wallpaper Engine
  • Street Warriors Online
  • Stardew Valley
  • SMITE
  • Dead by Daylight
  • Fallout 4
  • Hollow Knight
  • Tom Clancy's Rainbow Six Siege
  • ARK: Survival Evolved
  • Don't Starve Together
  • Geometry Dash
  • Unturned
  • Trove
  • Robocraft
  • The Witcher 3: Wild Hunt
  • Brawlhalla
  • Sid Meier’s Civilization VI
  • No Man's Sky
  • Serena
  • Grand Theft Auto V
  • Mount & Blade II: Bannerlord
  • Cities: Skylines
  • Rocket League
  • Rust
  • 7 Days to Die
  • The Binding of Isaac: Rebirth
  • The Forest
  • Dying Light
  • Path of Exile
  • War Thunder
  • Warframe
  • Heroes & Generals
  • Euro Truck Simulator 2
  • DayZ
  • Grim Dawn
  • PAYDAY 2
  • Castle Crashers
  • Project Zomboid
  • Arma 3
  • Terraria
  • The Tiny Bang Story
  • Sid Meier's Civilization V
  • Garry's Mod
  • Counter-Strike: Global Offensive
  • Portal 2
  • Dota 2
  • Left 4 Dead 2
  • Team Fortress 2
  • Half-Life 2: Lost Coast
  • Half-Life 2: Deathmatch
  • Counter-Strike: Source
  • Half-Life 2
  • Half-Life
  • Ricochet
  • Counter-Strike

Specials

  • Counter-Strike 2
  • DOOM: The Dark Ages
  • Schedule I
  • Clair Obscur: Expedition 33
  • Marvel Rivals
  • The Elder Scrolls IV: Oblivion Remastered
  • HELLDIVERS™ 2
  • R.E.P.O.
  • Destiny 2
  • Stellaris
  • Warframe
  • Dead by Daylight
  • Cyberpunk 2077
  • Apex Legends™
  • Baldur's Gate 3
  • The Elder Scrolls® Online
  • Rust
  • NBA 2K25
  • Drive Beyond Horizons
  • War Thunder
  • Limbus Company
  • Tom Clancy's Rainbow Six® Siege
  • Kingdom Come: Deliverance II
  • PUBG: BATTLEGROUNDS
  • Once Human
  • The Sims™ 4
  • THRONE AND LIBERTY
  • The Precinct
  • Path of Exile 2
  • ELDEN RING

Top Sellers

  • DOOM: The Dark Ages
  • Counter-Strike 2
  • HELLDIVERS™ 2
  • Clair Obscur: Expedition 33
  • Marvel Rivals
  • Stellar Blade™
  • Limbus Company
  • The Elder Scrolls IV: Oblivion Remastered
  • Schedule I
  • Destiny 2
  • The Precinct
  • ELDEN RING NIGHTREIGN
  • Stellaris
  • Dead by Daylight
  • Cyberpunk 2077
  • Apex Legends™
  • Warframe
  • The Elder Scrolls® Online
  • Cubic Odyssey
  • R.E.P.O.
  • PUBG: BATTLEGROUNDS
  • NBA 2K25
  • Dune: Awakening
  • Drive Beyond Horizons
  • War Thunder
  • Baldur's Gate 3
  • Capcom Fighting Collection 2
  • Kingdom Come: Deliverance II
  • The Sims™ 4

Featured

  • Call of Duty Endowment (C.O.D.E.) United Force: Tracer Pack
  • Paradise Lust 2
  • Preserve
  • Broventure: The Wild Co-op
  • Blacksmith Master
  • Into the Restless Ruins
  • Omega Crafter
  • DOOM: The Dark Ages
  • Void Sails
  • Cubic Odyssey
  • Animal Spa
  • Shale Hill Secrets
  • Lust Academy Final
  • StarVaders
  • KIBORG
  • Monster Prom 4: Monster Con
  • Haste
  • Nordhold
  • Substance 3D Painter 2025
  • Two Point Museum